Textes ouvertement oulipiens dans lesquels le coeur simple de Marie Basmati d'Une mauvaise maire est devenu coriace sous les apparences d'une bonne maire, Héraclès court le sanglier afin de donner une leçon de liberté et de démocratie, Armand-Gaston Camus figure avec dignité la première République trahie en 1793 par le général Dumouriez. Une évocation des Trois contes de G. Flaubert. ©Electre 2024
Il faut prendre au mot les coquilles typographiques, par exemple celle-ci, lue un jour dans un journal : «Les Trois contes de Gustave Flaubert sont l'un des sonnets de la littérature universelle.»
Trois pontes ont été déduits, de manière ouvertement oulipienne, de cette bourde.
Le coeur simple de la Marie Basmati d'Une mauvaise maire y est devenu plus coriace sous les apparence d'Une bonne maire ; Héraclès, esprit libre et laïc, y court le sanglier ; Armand-Gaston Camus, conventionnel, figure avec dignité la Ire République trahie, en 1793, par le général Dumouriez.
Trois pontes au panthéon de La République roman.
Paru le : 03/04/2008
Thématique : Littérature Française
Auteur(s) : Auteur : Jacques Jouet
Éditeur(s) :
POL
Collection(s) : Blanche
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-84682-246-6
EAN13 : 9782846822466
Reliure : Broché
Pages : 158
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 15.0 cm
Épaisseur: 1.4 cm
Poids: 225 g
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