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Un coup de coeur de Mollat
Après les événements du 11 Septembre, les cartes du nouveau visage du monde se sont abattues.
Dominé par une hyperpuissance, les Etats-Unis, il évolue entre guerres, mondialisation, marchés financiers et groupes médiatiques planétaires.
Directeur du prestigieux "Monde Diplomatique", Ignacio Ramonet nous oblige à découvrir ce nouveau monde dans toute sa réalité. Il en dénonce ses excès avec l'effondrement par exemple de la politique et de l'économie argentine en décembre 2001.
La Terre connait ainsi une nouvelle ère de conquêtes, dominée par des groupes industriels et des conglomérats, sous l'égide du FMI. Mais sa corne d'abondance contient beaucoup de fruits tarés comme l'exclusion, le déséquilibre de l'écosystème, le dysfonctionnement Nord-Sud ou l'omniprésence du pouvoir médiatique.
Entre peurs et menaces nouvelles, le texte est plutôt alarmant mais l'espoir d'une societé civile internationale au centre des échanges reste une ouverture au futur.
Il est temps de refonder une nouvelle économie, plus solidaire, en supprimant les paradis fiscaux indspensables à toutes malversations financières.
Ignacio Ramonet reprend même un principe révolutionnaire, qui fait son chemin ces dernières années, celui d'un revenu d'existence inconditionnel pour tous. Un revenu parce qu'on existe et non pour exister.
Et même si cela paraît utopique, il est bon d'entendre encore la voix d'hommes qui veulent changer le monde.
Directeur du prestigieux "Monde Diplomatique", Ignacio Ramonet nous oblige à découvrir ce nouveau monde dans toute sa réalité. Il en dénonce ses excès avec l'effondrement par exemple de la politique et de l'économie argentine en décembre 2001.
La Terre connait ainsi une nouvelle ère de conquêtes, dominée par des groupes industriels et des conglomérats, sous l'égide du FMI. Mais sa corne d'abondance contient beaucoup de fruits tarés comme l'exclusion, le déséquilibre de l'écosystème, le dysfonctionnement Nord-Sud ou l'omniprésence du pouvoir médiatique.
Entre peurs et menaces nouvelles, le texte est plutôt alarmant mais l'espoir d'une societé civile internationale au centre des échanges reste une ouverture au futur.
Il est temps de refonder une nouvelle économie, plus solidaire, en supprimant les paradis fiscaux indspensables à toutes malversations financières.
Ignacio Ramonet reprend même un principe révolutionnaire, qui fait son chemin ces dernières années, celui d'un revenu d'existence inconditionnel pour tous. Un revenu parce qu'on existe et non pour exister.
Et même si cela paraît utopique, il est bon d'entendre encore la voix d'hommes qui veulent changer le monde.
