L'auteur part du principe selon lequel les objets culturels sont assimilables soient à des biens publics ou méritoires, soient à des biens économiques et richesse. L'héritage culturel de l'Afrique est suffisamment important pour être la base d'un développement économique. Ce potentiel culturel doit être mise en valeur comme n'importe quel autre bien et protégé des trafics qu'il suscite. ©Electre 2024
Dans cet ouvrage inédit, l'auteur en nous présentant un travail à la fois rigoureux et singulier par son originalité sur les biens culturels africains en tant que biens publics ou méritoires, biens économiques et richesse, s'impose comme véritable maître à penser du développement endogène des économies africaines dont l'héritage culturel (via biens culturels) en est la base. Dans sa vision de ce développement endogène, il essaie, (aux vues des pertes et autres externalités dont un trafic sans cesse croissant et incontrôlable fait subir aux pays africains) et ce avec sa Théorie Monétaire de Protection des Biens Culturels, de proposer un modèle pour une politique efficace de mobilisation et de canalisation de ceux-ci. De plus, il présente les différents aspects des biens culturels africains (qui depuis le début du siècle dernier se sont imposés à travers le monde comme racines du cubisme et de l'Art moderne) et met en exergue leur importance économique en se référant à des indicateurs précis en Europe et aux USA (volume des transactions, indices des prix, résultats de ventes aux enchères, taux de rendement, différents marchés...).
Paru le : 10/12/2000
Thématique : Essais d'économie
Auteur(s) : Auteur : Joseph Ndeffo Fongué
Éditeur(s) :
L'Harmattan
Collection(s) : Etudes africaines
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782747500036
Reliure : Broché
Pages : 217
Hauteur: 22.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 1.1 cm
Poids: 308 g
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