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L'homme qui en a trop vu

Ali Arkady, photographe reporter, va faire une découverte innommable qui va bouleverser ses convictions de journaliste...

Ali Arkady est un photographe reporter ayant effectué un voyage en Irak aux côtés de la force de libération locale. Leur mission est de débusquer des agents d’Isis et des forces terroristes Al-Qods retranchés et cachés dans les villages irakiens. Les forces de libération sont divisées en trois sections : groupe de combat, renseignement, tireurs d’élite et de précision. Ali va suivre les deux premiers nommés et va aller de villages en villages sur la piste des agents terroristes et va découvrir que les forces de libération usent de techniques barbares et sauvages pour soutirer des aveux aux suspects arrêtés. 
N’écoutant que son dévouement et coeur de journaliste humaniste, il va tout faire pour rassembler assez de preuves pour dévoiler au monde les techniques inhumaines employées par les “libérateurs”.

Ode au courage et à la liberté de la presse, L’homme qui en a trop vu est un documentaire saisissant sur les combats et sur la chasse aux terroristes qui fait rage au Moyen-Orient. Ali Arkady dévoile également l’héritage laissé par les américains en Irak, ayant formé les soldats de la force de libération aux techniques d’interrogatoire chères à la CIA. 
Récit dur et engagé qui dévoile une certaine réalité des combats mais surtout du traitement des civils se trouvant malgré eux au milieu d’un combat idéologique et géopolitique qui n’est pas le leur.

Les nuages sont comme les rêves, mouvants et porteurs d'espoir

Le ciel comme limite, comme horizon, comme rêve… inatteignable mais qui laisse songeur et avec le souhait de le côtoyer.

Le ciel comme limite, comme horizon, comme rêve… inatteignable mais qui laisse songeur et avec le souhait de le côtoyer.

C’est ce à quoi aspire le jeune Léo depuis son plus jeune âge. Fan du Superman de Shuster et Siegel, le jeune homme est obsédé par son désir de voler comme son héros, cape au vent et pour seul compagnon la brise rassurante d’un eden empli de nuages. 
Mais la vie étant ce qu’elle est, Léo doit vite se résoudre à trouver un rêve plus terre à terre et à se construire une vie d’adulte avec un travail et toutes les commodités qui vont avec. Dans les moments difficiles, un héros venu du ciel lui tend une main. Symbole d’espoir et de rêve, ce héros anonyme l’accompagne et le pousse vers son rêve de toujours.
C’est alors qu’il fait la rencontre de Nour, une jeune femme avec qui il travaille dans une boutique “duty free” d’un aéroport. A deux ils vont vivre, s’aimer, se rassurer, s’accompagner et avancer. Mais quelque part en lui, Léo n’a jamais abandonné l’idée de voler. C’est ce qu’il fera, c’est ce qu’il veut, quoi qu’il puisse lui en coûter…


“Nuages” de J. Personne est une ode à la rêverie mais également un spleen moderne nous mettant face aux désillusions et à la réalité de la vie lorsque nous grandissons. Tout à chacun à un rêve, il en va de notre responsabilité et de de nos envies de vouloir le réaliser. Mais parfois il arrive qu’ils nous déçoivent. Les rêves ne sont peut être pas faits pour être réalisés. Peut-être sont-ils présents pour nous donner de l’espoir ? Peut-être que les rêves sont dangereux ? Peut-être ne sont-ils qu’un fantasme de jeunesse nous armant d'œillères ? Peut-être qu’au lieu de se créer une cible, il faudrait devenir le héros de sa propre histoire ?
C’est ce que “Nuages” symbolise, c’est ce qu’il représente avec la trajectoire de son protagoniste perdu entre réalité et rêverie. 
Le tout appuyé par des planches purement contemplatives représentant la fatalité et le temps qui passe tout en nuages colorés échappant au temps.

Les rêves, comme les nuages, filent au gré des décisions du vent, et c’est à nous d’orienter notre cape dans ces couloirs aériens qu’on appelle la vie. 

La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

Un duo dantesque pour une histoire colossale.
Un duo dantesque pour une histoire colossale.

Véritable conte horrifique grouillant de références aux contes et légendes, ce récit nous présente l'histoire de Blanchette. Cette jeune orpheline semble avoir du mal à s'intégrer parmi le groupe d'orphelins qui arpente les rues. Un jour, elle est témoin de l'enlèvement de ces enfants par un croque-mitaine peu ragoutant.
Peu-importe ses sentiments, elle compte bien leur porter secours .
Ils se retrouveront tous sur les Terres des ogres, et plus précisément dans la cuisine où la bonne morale est absente. Fines bouches, les ogres agrémentent leurs plats de viande la plus tendre possible.
Pour survivre, les enfants ne pourront compter que sur Blanchette. Une héroïne un brin particulière qui n'hésite pas à faire chavirer les obstacles et ainsi sa fin.

Un récit incroyable, porté par des dessins majestueux et gargantuesques, où il est inévitable de savourer chacune des pages...

Espace infini, terreur infini !

Sur la Lune, d'étranges meurtres rituels sont accomplis... L'horreur et l'angoisse gagnent le cœur des mineurs alors que l'enquête piétine...

Loin dans le futur, l’humanité est parvenue à trouver une ressource minérale précieuse dans les sous sols de la Lune. Les employés de la mine sont motivés par une paie plus que gracieuse et les plaisirs simples que peut offrir les différents quartiers lunaires. Mais un jour, lors d’une simple sortie de contrôle du matériel, deux mineurs découvrent l’impensable : un corps crucifié et affreusement mutilé laissé à l’extérieur de la station. Premier meurtre ressencé dans l’histoire de la station spatiale, les dirigeants de la compagnie sont inquiété par cette nouvelle donnée. Alors que l’enquête avance peu à peu faute de moyens, un autre corps est retrouvé cette fois-ci décapité. Benjamin, le chef de la sécurité décide d’enquêter et découvre une sombre machination s’amorçant derrière ces meurtres sordides… 


Avec Blood Moon, Bones s’attaque au registre de l’horreur spatiale, que les fans de cinéma de genre affectionne tout particulièrement. Et le moins que l’on puisse dire c’est que le paris est réussi haut la main. 
Le scénario de ce Blood Moon rend hommage à plusieurs grandes œuvres de science-fiction contemporaine, parmi lesquelles nous pourrions citer Event Horizon, Dead Space, The Callisto Protocol ou encore Alien. Sanglant, vulgaire, énigmatique, sale et inquiétant, le récit emprunte la piste des rituels sectaires comme principal fil rouge et à le luxe de ne pas se perdre en péripéties superflues. L’enquête et les rebondissements avancent à cent à l’heure et ne laissent aucun répit aux lecteurs désireux de savoir ce qui se cache derrière ces meurtres rituels.
Graphiquement, l’auteur propose un trait dur et épais qui accompagne parfaitement l’ambiance poisseuse, claustrophobe et violente du récit.
Blood Moon est une excellente pioche pour tous les fans d’horreur et de survival spatial souhaitant se replonger dans les grandes heures de ce genre pourtant si difficile à maîtriser. Un excellent cru de début d’année !

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