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A l'occasion d'un festival d'opéra annuel à Glyndebourne, le narrateur découvre un manuscrit daté de 1855, signé par un certain Mark Fielding dont personne n'a entendu parler. ©Electre 2024
Lors d'une escapade à Glyndebourne, à l'occasion du festival d'opéra annuel qui s'y déroule, le narrateur découvre un manuscrit daté de 1855, dont l'auteur, Mark Fielding, est inconnu de l'édition britannique.
«Le texte était d'une grande qualité d'écriture. Le style avait la couleur du siècle, la musique était bien celle de ces moments passés. On y trouvait des thèmes assez classiques : deux êtres qui s'aimaient sans pouvoir se le dire, quelques scandales bien choisis, une maison hantée, des descriptions flamboyantes. Mais il y avait un problème. (...) On n'exprimait pas ses sentiments d'une manière aussi brutale à cette époque, et sûrement pas dans la bouche d'une femme. Trop de violence faite au corps, trop de sensualité. Pour les représentants de l'édition britannique consultés, j'étais un imposteur. (...) J'avais emprunté l'identité d'un auteur imaginaire et je voulais me parer de ses oripeaux littéraires. (...) Le livre était pourtant terriblement séduisant. J'étais avide d'en faire partager le secret, d'en observer les effets. Je devais le faire lire.»
C'est un tableau saisissant de l'Angleterre victorienne que peint dans Le Manuscrit de Glyndebourne François Langlade. Dans un style superbe, qui nous porte tout au long de ce périple dans le temps, il restitue avec justesse la férocité et l'hypocrisie de cette société coincée entre la rigidité morale de ses mœurs et la violence de ses passions.
Paru le : 18/04/2002
Thématique : Littérature Française
Auteur(s) : Auteur : François Langlade
Éditeur(s) :
France-Empire
Collection(s) : Non précisé.
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782704809424
Reliure : Broché
Pages : 186
Hauteur: 25.0 cm / Largeur 16.0 cm
Épaisseur: 1.5 cm
Poids: 266 g