Second volet du diptyque familial dans lequel l'auteur retrace la vie de sa mère. Petra grandit marquée par l'absence de sa mère, morte en lui donnant naissance, et la dévotion qu'elle voue à son père, un homme brutal et dépressif. Maltraitée et exploitée par le reste de sa fratrie, elle quitte son foyer pour être embauchée comme femme de ménage chez le gouverneur militaire de Saragosse. ©Electre 2024

j'en savais si peu sur toi, maman...

Lorsque sa mère meurt en 1998, Antonio découvre le secret qu'elle a caché toute sa vie : un bras blessé dont elle n'a jamais pu se servir normalement... Partant de cette révélation liée à un terrible drame de naissance, il raconte le siècle au féminin dans une Espagne dure et cruelle.

Un hymne aux souffrances, à l'émancipation et au courage des femmes...

Une aile brisée, un bras replié à jamais, à cause de la rage d'un père rendu fou par la mort de sa femme bien-aimée... À partir de ce secret soigneusement caché par sa mère à ses intimes, Antonio Altarriba complète et achève son diptyque familial, entrepris avec L'Art de voler. Cette fois, c'est par les yeux des femmes qu'il examine le terrible 20^e siècle espagnol. Femmes méprisées, brutalisées, asservies, corsetées par l'Église toute-puissante et les règles d'un rude patriarcat...

Ce livre est un effarant constat sur l'oppression qu'une société est capable d'exercer sur la moitié d'elle-même. Mais c'est aussi, comme celui qui l'a précédé, une implacable leçon de dignité, d'opiniâtreté et de courage. L'instinct de vie plus fort que l'adversité.

j'en savais si peu sur toi, maman...

Lorsque sa mère meurt en 1998, Antonio découvre le secret qu'elle a caché toute sa vie : un bras blessé dont elle n'a jamais pu se servir normalement... Partant de cette révélation liée à un terrible drame de naissance, il raconte le siècle au féminin dans une Espagne dure et cruelle.

Un hymne aux souffrances, à l'émancipation et au courage des femmes...

Une aile brisée, un bras replié à jamais, à cause de la rage d'un père rendu fou par la mort de sa femme bien-aimée... À partir de ce secret soigneusement caché par sa mère à ses intimes, Antonio Altarriba complète et achève son diptyque familial, entrepris avec L'Art de voler. Cette fois, c'est par les yeux des femmes qu'il examine le terrible 20^e siècle espagnol. Femmes méprisées, brutalisées, asservies, corsetées par l'Église toute-puissante et les règles d'un rude patriarcat...

Ce livre est un effarant constat sur l'oppression qu'une société est capable d'exercer sur la moitié d'elle-même. Mais c'est aussi, comme celui qui l'a précédé, une implacable leçon de dignité, d'opiniâtreté et de courage. L'instinct de vie plus fort que l'adversité.