en savoir plus
Permet à tous ses détenteurs d'obtenir 5% de réduction sur tous les livres lors du retrait en magasin (réduction non cumulable avec les réductions de type étudiant).
Offre également un certain nombre d'avantages auprès de nos partenaires.
Avec les favoris, retrouvez dans un espace les sélections effectuées au fur et à mesure de vos navigations dans le site.
Constituez pour votre usage personnel vos listes de livres en prévisions d'achats futurs et votre sélection d'articles, dossiers, événements, vidéos ou podcasts préférés ou à découvrir plus tard...
Il suffit simplement de cliquer sur "Ajout Favori" sur chaque page qui vous intéresse pour les retrouver ensuite dans votre espace personnel.
Requiert un compte Mollat
Requiert un compte Mollat
J.-P. Maschi expose la théorie qui lui a valu d'être radiée de l'Ordre des médecins en 1968, et qui rattache la sclérose en plaques à la pollution électromagnétique. ©Electre 2025
La Sclérose en Plaques a été décrite la première fois, en 1868, par le médecin français Jean-Martin Charcot qui avait, alors, constaté que le stress pouvait déclencher des poussées. Au début du XXe siècle, le rôle du stress a été écarté au profit d'une théorie virale.
Au cours de l'armée 1980 le présumé virus n'ayant pas été découvert, la médecine finit par reconnaître la théorie multifactorielle de la cause de la maladie, formulée en 1967 par le docteur Jean-Pierre Maschi, mettant en jeu un facteur génétique, de prédisposition et un facteur d'environnement, en l'occurrence la pollution électromagnétique.
Dès 1965, ce médecin a été le premier scientifique à avoir pris conscience de cette nouvelle pollution qui, jusqu'à aujourd'hui, n'a pas été reconnue par les spécialistes de la maladie.
En 1968, il a été radié à vie par le Conseil de l'Ordre des Médecins pour «charlatanisme», alors que la thérapeutique qu'il avait mise au point avait amélioré des centaines de sclérosés en plaques. Le traitement consiste en conseils d'hygiène générale pour éviter les agressions électriques et en une hydrothérapie qui permet la décharge, au sol, du corps.
Depuis près de 40 ans, la pollution électromagnétique est reconnue par la Communauté Scientifique et ce terme, inventé par le Docteur Maschi, est entré dans le langage courant et repris dans le Monde entier. Mais en France, les instances officielles n'ont jamais reconnu les effets néfastes de ce nouveau facteur écologique qui ne cesse d'augmenter dans les pays industrialisés.
Les traitements classiques utilisés pour traiter la Sclérose en Plaques soignent les effets et non la cause, toujours inconnue pour les spécialistes. Cependant, le rôle de la pollution électromagnétique dans la Sclérose en Plaques est déjà reconnu par plusieurs chercheurs internationaux.
Les raisons d'un scandale sanitaire sont toujours à chercher du côté de l'argent et au refus de se rendre à l'évidence. Le rôle de cette pollution bouleverse trop les idées sur cette maladie, acceptées depuis très longtemps par la médecine officielle.
À l'heure où l'augmentation du brouillard électromagnétique atteint son paroxysme, on observe, dans les pays industrialisés, des taux de plus en plus élevés d'atteintes du système nerveux, et notamment de cas de Sclérose en Plaques, toujours considérée par le Monde médical comme «la plus mystérieuse des maladies».
Paru le : 01/04/2014
Thématique : Autres spécialités médicales
Auteur(s) : Auteur : Jean-Pierre Maschi
Éditeur(s) :
Ed. Résurgence
Collection(s) : Résurgence
Contributeur(s) : Préfacier : Jean-Marie Danze
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-87434-157-1
EAN13 : 9782874341571
Reliure : Broché
Pages : 351
Hauteur: 24.0 cm / Largeur 16.0 cm
Épaisseur: 2.4 cm
Poids: 520 g