L'auteur, membre d'un think tank climato-sceptique, estime que le lien entre CO2 et hausse des températures est sans fondement, les relevés officiels indiquant que la situation climatique est redevenue normale en 2016 . Des scientifiques affirment qu'il faut se réjouir des émissions de CO2 qui permettent une augmentation de la production agricole et ainsi une lutte contre la pauvreté et la famine. ©Electre 2024

Climat : la grande manipulation

Parce que l'humanité utilise du pétrole, du gaz, et du charbon, il y a de plus en plus de gaz carbonique (C02) dans l'atmosphère. Selon les Nations Unies et leur émanation le GIEC, ce C02 serait la cause d'un réchauffement massif de la planète et nous mènerait à la catastrophe.

Mais quand un scientifique indépendant étudie les chiffres, il constate que les derniers relevés des satellites ne vont pas du tout dans ce sens. Certes, à cause d'un puissant « El Nino », il y a eu en 2015 et au début de 2016 une hausse des températures qui a entraîné des records, mais elle a peu duré. Les relevés officiels que reproduit ce livre sont unanimes : les températures sont revenues à la normale au milieu de 2016.

Deuxième surprise : de nombreux spécialistes affirment qu'il n'y a non seulement pas lieu de craindre les émissions de C02 mais qu'il faut au contraire s'en réjouir. Pour deux motifs fondamentaux :

• l'accroissement des émissions signifie que des millions d'êtres humains sortent de la pauvreté. Comme cela fut le cas pour l'Occident et comme le rappelle l'Agence Internationale de l'Énergie (AIE), aucun développement économique n'est possible à ce jour sans le pétrole, le gaz naturel et le charbon.
• en favorisant la photosynthèse, le C02 contribue massivement à la lutte contre la faim dans le monde. Ainsi, l'accroissement de 40% de la teneur de l'atmosphère en C02 depuis le début de l'ère industrielle est-il l'un des facteurs majeurs de l'augmentation remarquable et planétaire des rendements agricoles. Une tonne de C02 rejetée en plus, c'est 300 grammes supplémentaires de céréales chaque année, une tonne de moins, c'est l'inverse.

Ce livre se propose donc de démonter point par point la grande manipulation dont le climat est l'objet et dont nous sommes tous les victimes.