En 1295, en Ecosse, les deux survivants du massacre des Templiers transmettent le mystère des mystères à un Espagnol de la noblesse pour qu'il cache le secret gravé sur des tablettes près de Grenade. En 2007, après l'attentat contre la Grande Loge de France, ressurgit la crainte du secret dévoilé. Jaime d'Aigremont, descendant d'un Templier et franc-maçon, mène l'enquête. Premier roman. ©Electre 2024

Je suis celui qui hait

Meurtres, complots, courses-poursuites... Aux quatre coins de l'Europe et à travers les siècles, une quête dangereuse autour du temple de Salomon qui pourrait voir le monde mis à feu et à sang.

1295, comté d'Argyll, Écosse. Frère Hélion et le chevalier Jehan d'Anthénèse sont les seuls survivants du massacre d'un régiment Templier. Les voilà porteurs d'un secret capable de réduire en cendres l'Église catholique romaine. Gravé sur tablettes, celui-ci est transmis à Dondei de Navarre, noble espagnol qui doit le cacher sur une montagne sacrée près de Grenade.

2007. La Grande Loge de France a été visée par un attentat. On soupçonne Neo Ordo Templi, une secte catholique ancestrale alliée à un groupe de juifs extrémistes. Derrière cette attaque envers les Franc-Maçons, la crainte de les voir dévoiler le « mystère des Mystères ».

Jaime d'Aigremont, descendant de templier et franc-maçon, est chargé de mener l'enquête secrètement... et à ses risques et périls.

« Un amoureux de l'Ordre du Temple, amateur de secrets enfouis, pouvait avoir utilisé les mêmes méthodes que lui pour transmettre ses messages. Il se replongea dans le livre. Il devait trouver. Ce n'est que vers une heure du matin qu'il leva la tête, les yeux dans le vague. Perplexe, il relut un paragraphe.

(...)

Quelque chose clochait dans ce texte. Il avait vu ce nom « Dondei de Navarre » ailleurs. En outre les termes de « Terre promise » dans un ouvrage de Fleaunce détonnaient. On ne pouvait confondre « Terre promise » et « Terre sainte ».

Plus qu'une erreur, pour un médiéviste, c'était carrément une faute. Enfin, « son chroniqueur » ! Qu'est-ce que cela venait faire ici ? Hugues de Champagne n'avait jamais eu de « chroniqueur », du moins à sa connaissance. »