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Un coup de coeur de Ava
Un grand roman post apocalyptique où l'art occupe une place de choix !
Un soir, une représentation du roi Lear est jouée. Sur scène, l'acteur principal s'effondre et meurt. Arthur Leander donne ainsi l'interprétation la plus dramatique de sa prolifique carrière. Plus tard dans la soirée, les premiers cas d'une grippe foudroyante sont recensés. En quelques jours, une grande partie de la population mondiale est décimée.
S'ensuit alors une longue décennie de chacun pour soi, la survie avant tout. Toute ressource, aussi minime soit-elle, vaut la peine de tuer. Le pire des hommes se dévoile et la méfiance prend le dessus.
La Symphonie Itinérante est une compagnie de musiciens et de comédiens qui traverse le pays de villes en villes, là où résident les survivants. Ils déclament Shakespeare et jouent Beethoven, les grandes œuvres de "l'ancien monde". Car art est synonyme d'espoir et que tout n'est pas à oublier du monde d'avant.
Emily St. John Mandel nous parle de résilience et du collectif, dans ce monde où tout est à reconstruire, quel chemin choisit-on d'emprunter ?
" Ce qui a été perdu lors du cataclysme: presque tout, presque tous. Mais il reste encore tant de beauté : le crépuscule dans ce monde transformé, une représentation du Songe d'une nuit d'été sur un parking, dans la localité mystérieusement baptisée St Deborah by the Water, avec le lac Michigan qui brille à cinq cents mètres de là. "
Bouleversant parce que terriblement plausible et merveilleusement bien dépeint, Station Eleven est un énorme coup de cœur !
S'ensuit alors une longue décennie de chacun pour soi, la survie avant tout. Toute ressource, aussi minime soit-elle, vaut la peine de tuer. Le pire des hommes se dévoile et la méfiance prend le dessus.
La Symphonie Itinérante est une compagnie de musiciens et de comédiens qui traverse le pays de villes en villes, là où résident les survivants. Ils déclament Shakespeare et jouent Beethoven, les grandes œuvres de "l'ancien monde". Car art est synonyme d'espoir et que tout n'est pas à oublier du monde d'avant.
Emily St. John Mandel nous parle de résilience et du collectif, dans ce monde où tout est à reconstruire, quel chemin choisit-on d'emprunter ?
" Ce qui a été perdu lors du cataclysme: presque tout, presque tous. Mais il reste encore tant de beauté : le crépuscule dans ce monde transformé, une représentation du Songe d'une nuit d'été sur un parking, dans la localité mystérieusement baptisée St Deborah by the Water, avec le lac Michigan qui brille à cinq cents mètres de là. "
Bouleversant parce que terriblement plausible et merveilleusement bien dépeint, Station Eleven est un énorme coup de cœur !