La SRPJ de Besançon se voit contrainte par le procureur de la République de travailler de concert avec la gendarmerie. Elles doivent retrouver l'auteur des meurtres d'un psychiatre et d'une documentaliste. ©Electre 2024

Un psychiatre liquidé, un flic qu'on tente d'assassiner, une documentaliste qui passe de vie à trépas... L'activité de la division du SRPJ de Besançon est aussi tumultueuse que les eaux du Doubs en pleine crue.

Lorsqu'un procureur obstiné leur met des bâtons dans les roues et qu'il faut travailler de concert avec la gendarmerie parce qu'une des victimes a eu l'excellente idée de se faire liquider en banlieue dijonnaise, rien ne va plus au commissariat de la Gare d'Eau. Tirer le fil pour démêler la pelote, prouver les liens entre ces affaires alors que personne n'y croit, remuer un passé obscur et fouiller dans la vie privée de ses hommes, alors que la sienne est chancelante : la commissaire Bracq n'est pas à la fête.

Une enquête où plus que jamais le passé est une clé et les apparences trompeuses.

« Fabrice Pichon nous ligote dès la première page et ne nous libère qu'à la toute fin, après nous avoir révélé le dernier rebondissement de son intrigue. Diable d'auteur ! Ce polar est un plaisant mélange d'humour lucide et de compréhension, voire de tendresse pour les travers de ses personnages. »
Valérie Caffier - Librairie Le Divan - Paris 15ème

« Les personnages s'entrechoquent et se répuisent comme les pièces d'un puzzle aimanté dans un chassé-croisé où manipulations, guerre d'influence et conflits d'intérêts déterminent les assemblages. L'indomptable commissaire Bracq agence les combinaisons aléatoires de ce jeu de patience où un morceau manquant s'imposera telle une évidence. »
Michel Jupille - Libraire aux Sandales d'Empédocle - Besançon

« Rebondissements en cascade, brillante maîtrise du suspense, Fabrice Pichon joue avec nos nerfs tout au long du roman avant d'abattre ses cartes dans un final qui nous laisse pantois... Avec Le mémorial des anges, Fabrice Pichon signe un thriller imprévisible et palpitant ! »
Carine Boulay-Subileau - Blog Le Noir Émoi - La Roquebrussanne