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Un coup de coeur de Amandine
La philosophe et historienne de la sexualité propose des pistes de réflexions sur ce que peut être du bon sexe après #MeToo.
« Il ne faut pas croire qu’en disant oui au sexe, on dit non au pouvoir ». (Foucault, Histoire de la sexualité tome 1 : La volonté de savoir)
En partant de ce constat, Katherine Angel interroge les différents moyens qu’il serait possible de mettre en place pour une sexualité épanouie et sereine. Pour cela, si le consentement peut apparaître comme la solution ultime, il s’avère que celui-ci n’est pas suffisant puisque par nature, nous ne savons pas toujours ce que nous voulons. Il faudrait alors davantage s’intéresser aux contextes dans lesquels se forme le désir puisqu’en effet, un des freins au bon sexe est la peur des femmes face aux agressions sexuelles et donc leur vulnérabilité. Et pourtant, l’autrice rappelle que le sexe est une prise de risques et implique que les personnes soient vulnérables.
Alors comment tout concilier pour avoir du bon sexe ? Est-il possible pour les femmes de vraiment dire non ? Est-ce que si ces dernières expriment un refus d’une pratique, d’une position ou même de l’acte sexuel, les hommes seraient capables d’accepter ce refus ? Est-ce que les femmes peuvent vraiment exprimer leur désir sans être méprisées par la suite ?
Tant de questions auxquelles Katherine Angel essaie d’apporter des réponses dans cet ouvrage éclairant sur le sexe après #MeToo ; un essai qui nous invite à prendre conscience de ce que nous voulons vraiment, ce qui représente un des points de départ pour une sexualité émancipée.
En partant de ce constat, Katherine Angel interroge les différents moyens qu’il serait possible de mettre en place pour une sexualité épanouie et sereine. Pour cela, si le consentement peut apparaître comme la solution ultime, il s’avère que celui-ci n’est pas suffisant puisque par nature, nous ne savons pas toujours ce que nous voulons. Il faudrait alors davantage s’intéresser aux contextes dans lesquels se forme le désir puisqu’en effet, un des freins au bon sexe est la peur des femmes face aux agressions sexuelles et donc leur vulnérabilité. Et pourtant, l’autrice rappelle que le sexe est une prise de risques et implique que les personnes soient vulnérables.
Alors comment tout concilier pour avoir du bon sexe ? Est-il possible pour les femmes de vraiment dire non ? Est-ce que si ces dernières expriment un refus d’une pratique, d’une position ou même de l’acte sexuel, les hommes seraient capables d’accepter ce refus ? Est-ce que les femmes peuvent vraiment exprimer leur désir sans être méprisées par la suite ?
Tant de questions auxquelles Katherine Angel essaie d’apporter des réponses dans cet ouvrage éclairant sur le sexe après #MeToo ; un essai qui nous invite à prendre conscience de ce que nous voulons vraiment, ce qui représente un des points de départ pour une sexualité émancipée.