Recueil de poésie en dialogue, de correspondances intranquilles entre les mots du poète et les formes et couleurs du plasticien, qui apportent à chacune, mais aussi au lecteur et spectateur, la possibilité d'un miroir où, magiquement, ne se reproduit l'image d'aucun des trois protagonistes. Celle seulement de leur interaction poétique. ©Electre 2024

Nouvelles : Le voyageur du wallraf (collectif, France-Loisirs, 1990).

Les papillons (L'Encrier renversé, 1992).

Insomnie (Écrire aujourd'hui n° 53).

Poésie : Dire (Édition du Petit Véhicule, 1998).

Midis Sans Ombre (Librairie-Galerie Racine, Prix Jean-Claude Renard, 2002).

Monstres, Exposition Fantasiarque de Bouin, 2004.

Le Jardin du Porte-Plume (Sac à mots Édition, 2005, poèmes accompagnés par huit oeuvres, dont une originale, de Chantal Atelin).

Mais c'est ailleurs toujours (Sac à mots Édition, 2008).

Présente en France et à l'étranger dans de nombreuses Revues : Concerto pour marées et silence, Décol', Europoésie, Friches, Gong, Incertain Regard, Jalons, Jointure, Laudes, Les Cahiers bleus, Les Cahiers de La Baule, Les Voleurs de feu, Poésie 1 Vagabondages, Poésie / première, Saraswati, 7 à dire, Sens Dessous, Signes, Spered Gouez, Traces, Travers, Vivre en Poésie...

et Anthologies : Sur la Page où naissent les mondes, Le Chemin des étoiles, Poésie sur la ville, Mille Poètes mille poèmes, Reflexos da Poesia contemporânea do Brasil, França, Itália e Portugal, Chevaucher la lune (anthologie canadienne du haïku en français), Éros en Poésie, Poètes du pays nantais, une anthologie pour 2002, Anthologie du haïku en France, L'Humour la vie les gens (Prix du Lion 2005), L'Érotique poème court / haïku, Québec 2008 (40 poètes du Québec et de France), Pixels (Vent d'ouest 2008, anthologie québécoise de haïkus), Regards de femmes (Danielle Shelton, 2008, anthologie québécoise de haïkus), Seulement l'écho (anthologie de haïkus francophones, La Part commune, 2010), De l'autre côté - P.O.M. (l'Arbre à paroles, 2011)...

Extraits du C.V. de Chantal Atelin

Ses sculptures suivent une démarche évolutive : de la taille directe - manière traditionnelle de travailler le bloc de pierre (ardoise, marbre, granit) - partant de la masse pour l'alléger au risque de la rupture, à la délimitation - par des barres d'acier - d'un espace autour du vide, forme allant vers le déséquilibre et le mouvement.