68 poèmes marqués par l'omniprésente sensation de passage, de transition, de transfert et évoquant l'homme en ses paysages, la mer et ses rivages, les nuits, les silences, les paroles, les regards, la mémoire, la nostalgie. ©Electre 2024

« La modernité de cette écriture aérée donne le tempo pour sortir de ce dédale dont l'homme si seul, si éphémère, et le temps si gravé de mémoire sont les principaux personnages. »
Agnès Courdavault Jointure.

« Le chant de Jean-Louis Bernard - c'en est un, au lyrisme dépouillé, donc d'autant plus vrai - atteint à l'universalité. »
Francis Chenot L'Arbre à Paroles.

« Poésie authentique et philosophique, dont l'alchimie revendique la mémoire des mots. »
Stephen Blanchard Florilège.

« ...Jean-Louis Bernard évoque l'absence, provoque le silence, dit l'intraduisible, pénètre le temps, moissonne l'enfance, capture le geste, retient les saisons. »
Nathalie Lescop-Boeswillwald Les Amis de Thalie.

« Cette ferveur attentive à déceler, derrière le flux et le reflux des jours, un peu de ce qui nous fait entrer dans l'imminence. »
Michel Passelergue ARPA.

« On touche par l'élégance à la grâce. On est en pays de poésie. »
Jacques Morin Décharge.

« La belle musique des vers, limpides, qui joint l'immédiat et le grandiose... L'écriture et l'atmosphère qui l'entoure convoquent... la noble tragédie de l'éternelle précarité... »
Gaston Marty Souffles.

« Chercheur d'absolu, mais aussi déchiffreur de magies, poète des approches indéfinissables par qui le verbe s'illumine et l'espace sort de la pénombre. »
Jean-Paul Mestas Jalons.

« Voici une poésie qui s'impose, qui fascine, par la qualité de cette quête poursuivie, toujours inachevée, mais combien porteuse... d'avancées et de fulgurances...Par la richesse également de cette écriture nourrie d'images somptueuses et de musiques subtiles. »
Bernard Desmaretz Rétro-Viseur.