Chargement...
Chargement...

Shakespeare et l'architecture : nouvelles inventions pour bien bâtir et bien jouer

Auteur : Muriel Cunin

71,00 €
Chargement...
Livraison à partir de 0,01 €
-5 % Retrait en magasin avec la carte Mollat
en savoir plus

Résumé

Analyse de quelques pièces de Shakespeare permettant d'examiner les liens unissant l'ensemble de son oeuvre et l'architecture élisabéthaine. Le dramaturge, interrogeant les idéaux humanistes, pose sans cesse la question de la forme sans jamais prétendre y répondre. Il fait naître la vision d'une architecture de la mouvance et de l'oscillation. ©Electre 2024

Encore mal connue, longtemps déconsidérée, l'architecture de l'époque élisabéthaine (ce terme désignant, au sens large, la période allant environ de 1560 à 1620) s'inscrit dans un contexte général (arts, sciences, politique, morale, arts du spectacle, rhétorique, etc.) gouverné par des concepts architectoniques. Mais, contrairement à la Renaissance italienne, la Renaissance anglaise est marquée par l'ambivalence et l'oscillation entre des pôles apparemment antithétiques (classicisme et style vernaculaire, norme et écart, ordre et tentation du chaos...). À travers l'analyse de quelques pièces de Shakespeare, cette étude se propose d'examiner les liens unissant son théâtre à cette architecture si particulière. En questionnant les idéaux humanistes, Shakespeare pose sans cesse la question de la forme sans jamais prétendre y répondre mais en proposant une multitude de points de vue qui, par la force de son génie poétique, font naître la vision d'une architecture de la mouvance et de l'oscillation.

Fiche Technique

Paru le : 28/05/2008

Thématique : Essais et théories - Dictionnaire

Auteur(s) : Auteur : Muriel Cunin

Éditeur(s) : H. Champion

Collection(s) : Etudes et essais sur la Renaissance

Série(s) : Non précisé.

ISBN : 978-2-7453-1724-7

EAN13 : 9782745317247

Reliure : Relié

Pages : 560

Hauteur: 23.0 cm / Largeur 16.0 cm


Poids: 840 g