En se fondant sur la correspondance de Voltaire, l'auteur prétend que ce dernier s'est rendu coupable et complice de divers crimes contre l'humanité. Selon lui, le philosophe des Lumières, figure de la grande bourgeoisie avare et cupide, s'est enrichi en profitant de la souffrance des autres. ©Electre 2024
C'était donc un vautour : on avait oublié de nous le dire.
Homme, mais de la variété "grande bourgeoisie", c'est-à-dire : rapace de dimension internationale, assoiffé du sang des peuples, et qui sait ce que le crime de guerre rapporte aux gens de son espèce.
Avec cela que la souffrance des autres les fait jouir, et que c'est ce dont l'ensemble de la Correspondance de Voltaire est animée jusqu'à l'orgie terminale qui associe l'apôtre de la tolérance (les armes à la main) à Catherine II de Russie...
Nous berner ainsi tout au long d'un quart de millénaire : quel tour de force !
Trop naïfs, ô enfants du peuple !
Avec nos yeux de rêveurs éveillés,
Livrés si tôt aux becs qui nous les dévorent...
Paru le : 03/04/2010
Thématique : Essais et théories - Dictionnaire
Auteur(s) : Auteur : Michel-Jean Cuny
Éditeur(s) :
Editions Paroles vives
Collection(s) : Non précisé.
Contributeur(s) : Auteur : Voltaire
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-918263-06-7
EAN13 : 9782918263067
Reliure : Broché
Pages : 478
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 15.0 cm
Poids: 0 g
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