A travers l'analyse d'oeuvres de Rendell, de Castro, de Maalouf, de Stevenson ou de Makine et l'étude détaillée d'un cas de psychose d'influence, l'auteure étudie les forces destructrices du on-dit. Elle aborde entre autres le corps et la violence exercée sur lui, les dangers du vide ou d'un univers fissuré. ©Electre 2024
Les dangers du « on-dit » et autres réflexions
Montrer les fissures, les vides, les craquements de l'existence et de la vie quotidienne par l'étude d'oeuvres littéraires, tel est le projet, réussi, de Gisela Pankow dans son ultime livre. La littérature contemporaine est une mine féconde pour décrire et comprendre les forces qui violentent le psychisme. Dans un précédent recueil, L'Homme et son espace vécu (1986), Gisela Pankow précisait ainsi son propos : « Mon travail ne concerne pas le métabolisme de l'avoir dans la littérature ; je voudrais prendre la parole du poète à la lettre pour la référer à un état d'être. » Cette psychanalyste met au jour dans les personnages, comme elle le pratiquait dans sa clinique, les failles dans la structure familiale et dans l'image du corps de l'être souffrant.
Une présentation de Jean Oury, une notice biographique de Marie-Lise Lacas, et une bibliographie de Gisela Pankow complètent cet ouvrage.
Paru le : 15/09/2006
Thématique : Textes de psychanalyse
Auteur(s) : Auteur : Gisela Pankow
Éditeur(s) :
Campagne première
Collection(s) : Un parcours
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782915789249
Reliure : Broché
Pages : 126
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 0.6 cm
Poids: 180 g
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