M. Gargia évoque avec humour et franchise ses amis millionnaires et nous entraîne dans un parcours éblouissant et cocasse. Il nous apprend à connaître l'extase du coin de paradis réservé aux élus de la destinée, à réclamer la table convoitée dans les restaurants à la mode, et à choisir les bonnes dates pour fréquenter les endroits où il faut être vu de ce monde où l'argent coule à flot. ©Electre 2024

«Mieux vaut être riche et bien portant que pauvre et malade» nous enseigne le bon sens populaire. Encore faut-il, pour répondre à cet adage, savoir être riche avec panache, cossu avec brio, rupin avec virtuosité.

Voici le guide qu'attendaient tous les fortunés et surtout les aspirants millionnaires : le vade-mecum de la richesse, le cicérone de l'opulence.

Massimo Gargia, le jet-setter familier de toutes les fêtes, l'arbitre du bon goût et de l'élégance, nous livre ici le fruit de son expérience. Il évoque avec humour et franchise ses amis millionnaires, et nous entraîne dans un parcours ahurissant, parfois cocasse, parfois éblouissant, mais toujours authentique et précis.

Il nous apprend à connaître l'extase du coin de paradis réservé aux élus de la destinée, à réclamer la table convoitée dans le restaurant à la mode, à choisir les bonnes dates pour fréquenter les endroits où il faut être vu de ce monde où l'argent coule à flots, comme le champagne...

Et surtout, le roi indétrôné de la jet-set, le complice des stars, l'intime des puissants, nous dit comment éviter erreurs et maladresses qui nous fermeraient définitivement les portes de la belle société.

Ce guide en main, vous franchirez une à une les étapes qui vous mèneront dans les fêtes les plus huppées, les soirées les plus élégantes, les clubs les plus exclusifs. Le monde qui vous paraît encore si fermé vous tend les bras... à condition d'en connaître les codes et les usages.

Vous pourrez alors rejoindre cet univers d'illusions ou, au contraire, choisir de vous retirer dans un univers plus simple.

Et puis, si vous n'êtes pas vraiment parmi les Crésus de notre siècle, si vous rêvez seulement de croquer un jour la chance et, avec elle, la prospérité insolente, souvenez-vous qu'il est toujours permis de rêver et rappelez-vous cette réflexion du sage : «C'est bien assez triste d'être pauvre, s'il faut encore se priver !»