Second d'une série prévue en dix ou onze volumes, cette recherche était à l'origine destinée à devenir une thèse d'Etat en philosophie. Elle analyse le phénomène d'aliénation et d'auto-aliénation de l'homme en se fondant sur la pensée de Hegel, Marx et Engels ou encore Feuerbach et interroge la question de la traite des Noirs et de la colonisation en Afrique. ©Electre 2024

Ce deuxième tome qui vient de paraître, fait partie intégrante des dix (10) tomes que les Editions MENA/BUC vont encore diffuser.

Nous l'avons déjà annoncé lorsque le premier livre de cette série a paru.

Ce que nous voudrions faire savoir une fois encore à nos chères lectrices et à nos chers lecteurs, c'est qu'il ne s'agit pas d'un nouveau sujet, voire d'un autre thème que l'auteur aurait traité dans ce deuxième tome. Il s'agit simplement du même sujet qui concerne toute l'Humanité. Exactement comme pour le premier tome ainsi intitulé « Le phénomène social de l'aliénation et de l'auto-aliénation de l'Homme ».

Les analyses, les argumentations, les dénonciations, les démonstrations, ainsi que les condamnations faites et refaites, dites et répétées plusieurs fois par l'auteur contre les manifestations de toute sorte de ce phénomène dont sont surtout victimes, depuis de très longs siècles, les ressortissants de la race noire de la part des ressortissants des autres races, que l'auteur considère et qualifie à juste titre d'ailleurs, comme des agissements affreusement et horriblement inhumains, comme rentrant justement plutôt dans l'ordre historique des choses, et non point dans l'ordre soi-disant naturel, qui serait une sorte de pré-détermination et de pré-décision du type téléologique, restant (analyses, argumentations, dénonciations) sans aucun changement.

Précisons, une fois de plus, que c'est dans ce même esprit, dans cette façon et dans cette même lancée, d'analyser, d'argumenter, de démontrer, de dénoncer, et de condamner fermement ces méfaits absolument abjects, aussi abominables, aussi barbares que criminels et foncièrement inhumains, que ce long texte a été confectionné.

Qu'il soit permis de dire qu'il en va pour l'ensemble des êtres humains, par conséquent, de toute l'Humanité.