Contributeur(s) :
Traducteur : Frank Reichert
Un coup de coeur de Mollat
Un petit chef d'oeuvre de moins de deux cent pages.
Elle, Marilyn ratée au grand coeur, câline son gros bambin de treize ans, dont le regard n'est plus tout à fait innocent, et le protège de son prétendu père qui l'humilie et l'insulte pour mieux l'utiliser dans ses combines aussi sordides que des vols de médicaments subtilisés à des malades en fin de vie.
Lui, c'est Shug, un adolescent obèse et solitaire, qui, quand il ne subit pas les coups de son père, s'occupe avec sa mère de l'entretien du cimetière dans lequel ils sont logés gratuitement en échange de menus travaux. Une vie sans avenir et sans espoir jusqu'au jour où ils font la connaissance du propriétaire d'une fabuleuse T.Bird. Hélas, cette rencontre magique va provoquer un drame...
Une fois de plus, Woodrell parle à sa manière des laissés pour compte du Rêve Américain : un bijou d'écriture, subtil et délicat, pour mieux souligner la solitude et la déchéance de ces abandonnés de la vie, sous l'ombre tutélaire de Jim Thompson.
Un coup de coeur de Mollat
Un petit chef d'oeuvre de moins de deux cent pages.
Elle, Marilyn ratée au grand coeur, câline son gros bambin de treize ans, dont le regard n'est plus tout à fait innocent, et le protège de son prétendu père qui l'humilie et l'insulte pour mieux l'utiliser dans ses combines aussi sordides que des vols de médicaments subtilisés à des malades en fin de vie.
Lui, c'est Shug, un adolescent obèse et solitaire, qui, quand il ne subit pas les coups de son père, s'occupe avec sa mère de l'entretien du cimetière dans lequel ils sont logés gratuitement en échange de menus travaux. Une vie sans avenir et sans espoir jusqu'au jour où ils font la connaissance du propriétaire d'une fabuleuse T.Bird. Hélas, cette rencontre magique va provoquer un drame...
Une fois de plus, Woodrell parle à sa manière des laissés pour compte du Rêve Américain : un bijou d'écriture, subtil et délicat, pour mieux souligner la solitude et la déchéance de ces abandonnés de la vie, sous l'ombre tutélaire de Jim Thompson.
Un coup de coeur de Mollat
Un petit chef d'oeuvre de moins de deux cent pages.
Elle, Marilyn ratée au grand coeur, câline son gros bambin de treize ans, dont le regard n'est plus tout à fait innocent, et le protège de son prétendu père qui l'humilie et l'insulte pour mieux l'utiliser dans ses combines aussi sordides que des vols de médicaments subtilisés à des malades en fin de vie.
Lui, c'est Shug, un adolescent obèse et solitaire, qui, quand il ne subit pas les coups de son père, s'occupe avec sa mère de l'entretien du cimetière dans lequel ils sont logés gratuitement en échange de menus travaux. Une vie sans avenir et sans espoir jusqu'au jour où ils font la connaissance du propriétaire d'une fabuleuse T.Bird. Hélas, cette rencontre magique va provoquer un drame...
Une fois de plus, Woodrell parle à sa manière des laissés pour compte du Rêve Américain : un bijou d'écriture, subtil et délicat, pour mieux souligner la solitude et la déchéance de ces abandonnés de la vie, sous l'ombre tutélaire de Jim Thompson.