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Un coup de coeur de Mollat
Faut-il encore présenter Fred Vargas aux amateurs de (bons) romans policiers ?
Son huitième livre qui vient de paraître est un vrai régal de lecture.
On y retrouve tout ce qui fait le charme de cet auteur : une intrigue solide, des personnages attachants, des dialogues ciselés, et ce climat poétique et insolite qui n'appartient qu'à elle, où l'humour côtoie la folie douce. Est-ce parce qu'elle est archéologue de formation qu'elle prête une attention particulière aux petits détails ? Dans Pars vite et reviens tard l'histoire s'ouvre sur de mystérieux chiffres 4 inversés peints sur les treize portes d'un immeuble dans le dix-huitième arrondissement de Paris... Où cela va-t-il mener, nul ne le sait, ni le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg chargé de l'enquête - que l'on a toujours autant de plaisir à retrouver - ni le lecteur, balloté entre de curieuses lettres à décrypter, un fléau qui semble surgi du Moyen-Age, et les méandres d'un secret de famille bien gardé.
Fred Vargas est de retour, on l'aime toujours autant !
On y retrouve tout ce qui fait le charme de cet auteur : une intrigue solide, des personnages attachants, des dialogues ciselés, et ce climat poétique et insolite qui n'appartient qu'à elle, où l'humour côtoie la folie douce. Est-ce parce qu'elle est archéologue de formation qu'elle prête une attention particulière aux petits détails ? Dans Pars vite et reviens tard l'histoire s'ouvre sur de mystérieux chiffres 4 inversés peints sur les treize portes d'un immeuble dans le dix-huitième arrondissement de Paris... Où cela va-t-il mener, nul ne le sait, ni le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg chargé de l'enquête - que l'on a toujours autant de plaisir à retrouver - ni le lecteur, balloté entre de curieuses lettres à décrypter, un fléau qui semble surgi du Moyen-Age, et les méandres d'un secret de famille bien gardé.
Fred Vargas est de retour, on l'aime toujours autant !