Résumé
"Je n'entamerai pas ici un couplet sur l'écologie (...) mais le trivialiste avisé ne manquera pas de se faire la réflexion que le fait de travailler moins longtemps et plus près de chez soi ne manquerait pas de diminuer les dépenses d'énergie", fait remarquer, entre autres, l'auteure de ce manifeste qui cite volontiers Georges Darien, Pierre Kropotkine, Emile Cioran, Harold Pinter... ©Electre 2025
Quatrième de couverture
Notre société se décompose à vue d'oeil... et en trompe-l'oeil. Comment la recomposer ?
Sous l'apparence d'une nation moderne, progressiste, libérale, humaniste et démocratique se cache une France à bout de souffle et d'inventivité, plus oligarchique que démocratique, sans projet et sans idéal.
Les élections proposent le choix morose d'un Président et d'un personnel politique dont l'obectif inavoué (et inavouable) semble être de faire illusion, d'occuper le terrain et les esprits, pour que continue de fonctionner une entreprise de démolition qui assure une très belle vie à ses actionnaires et dont la devise semble être « après nous le déluge »...
Ce manifeste du trivialisme pose un regard tantôt critique, tantôt indulgent, sur les fondations qui se lézardent et les institutions qui se fissurent. Loin des vérités acquises et des faux-semblants, il se veut un rappel au bon sens, un éloge de la simplicité et une incitation à l'imagination.
Avec le trivialisme, ni apocalypse ni utopie, mais un futur vivable.
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