A. de Chateaubriant, né en 1877, a effectué un séjour en Allemagne en 1937. Déjà profondément marqué par les quatre ans qu'il passe à la guerre en 1914, et de plus en plus contre le matérialisme moderne et les conceptions égoîstes de la vie, il adoptera les doctrines national-socialistes comme solutions à ces problèmes. La gerbe d'or n'est que le reflet de cette adhésion spirituelle. ©Electre 2024
«Puérilité : c'est le seul mot décent, le seul mot juste que l'on puisse employer pour ce livre, où l'on voit l'auteur s'agenouiller de page en page, avec un respect religieux, devant tout ce que représentent l'Allemagne et l'hitlérisme.» (Robert Brasillach, L'Action française, 8 juillet 1937).
«Un gentilhomme breton est ébloui par le Reich hitlérien. Passionnant parce que subjectif. Cette approche mystique du national-socialisme est le seul témoignage français de valeur ouvertement favorable à l'activisme hitlérien.» (L'Esprit public, novembre 1963).
«La Gerbe des Forces avait fait l'effet d'une bombe parce qu'elle ne parlait pas seulement de la paix entre la France et l'Allemagne : le tissu "spirituel" qu'on y trouvait, sous prétexte que le national-socialisme prônait "le sacrifice" et "l'effacement devant la communauté", était apparu gênant à bien des cœurs français. Du moins en 1937, les armées allemandes étaient-elles encore au-delà du Rhin.» (L.A. Maugendre, Ecrits de Paris, mai 1977).
Paru le : 18/03/2002
Thématique : Sciences politiques
Auteur(s) : Auteur : Alphonse de Châteaubriant
Éditeur(s) :
Déterna
Collection(s) : Documents pour l'histoire
Contributeur(s) : Préfacier : Philippe Randa
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782913044494
Reliure : Broché
Pages : 230
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 15.0 cm
Épaisseur: 1.2 cm
Poids: 210 g
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