"Au printemps 1998, sur la demande de l'évêque de Mostar, monseigneur Peric, qui considérait mes publications comme gênantes pour ses tâches pastorales, j'ai cessé de publier Medjugorje... Les éditions Gebetsaktion, de Vienne, m'ont proposé de continuer ce travail." ©Electre 2024

«Chers enfants, N'oubliez pas que vous êtes ici sur terre sur le chemin vers l'éternité et que votre demeure est dans les cieux. C'est pourquoi, petits enfants, soyez ouverts à l'amour de Dieu et abandonnez l'égoïsme et le péché. Que votre joie soit seulement dans la découverte de Dieu dans la prière quotidienne. C'est pourquoi, utilisez ce temps et priez, priez, priez, et Dieu est proche de vous dans la prière et à travers la prière.

Merci d'avoir répondu à mon appel.» (Message du 25 juillet 2000)

«Au printemps 1998, sur la demande de l'évêque de Mostar, Monseigneur Peric, qui considérait mes publications comme gênantes pour ses tâches pastorales, j'ai cessé de publier sur Medjugorje... Beaucoup ont regretté la cessation de cette parution annuelle. Ils y trouvaient une information objective et aussi complète que possible qui faisait le point sur les exagérations, calomnies et problèmes discutés. Mais, surtout, ils y trouvaient avec joie le bilan des fruits et des grâces de l'année écoulée, avec des perspectives d'avenir.

Les éditions Gebetsaktion, de Vienne (Autriche), m'ont proposé de continuer ce travail. Ce sera l'ex-voto permanent de Vienne à Notre-Dame, qui n'a sans doute pas dit son dernier mot : les groupes de prière, les conversions, les vocations se sont multipliés de manière profonde et remarquable...

A l'âge des testaments, il faut apprendre tous les jours à mourir. C'est un bonheur lorsqu'on laisse des héritiers et continuateurs indépendants, qui poursuivent le travail au service de l'Eglise. J'exprime à Gebetsaktion ma joie que l'information annuelle continue au service de Notre-Dame. Sans me comparer à ce grand personnage biblique, il me reste à faire comme Moïse écarté des combats de son peuple, mais qui le soutenait à distance de ses bras levés dans la prière. La prière est l'essentiel à Medjugorje. Elle est la meilleure garante de l'avenir pour que la paix, si ardemment souhaitée par Notre-Dame, triomphe à Medjugorje, dans l'Eglise et dans le monde.»