L'auteur s'appuie sur les idées de Jean-Paul II et de Benoît XVI pour mettre les chrétiens au défi de mettre leur foi en pratique tout en plaçant l'amour au cœur des débats. ©Electre 2024

Dans Une civilisation de l'amour, Carl Anderson, Chevalier Suprême des Chevaliers de Colomb, passe en revue les idées stimulantes et novatrices du pape Jean-Paul II. En rendant accessibles ses vues, ainsi que celles de son successeur le pape Benoît XVI, Anderson souhaite encourager les chrétiens à construire une civilisation de l'amour. Dans une telle civilisation chaque personne est enfant de Dieu car nous avons tous une valeur intrinsèque. Le combat fait rage aujourd'hui entre une culture de la mort (où les personnes sont jugées selon leur valeur sociale ou économique) et une culture de la vie. Anderson ne s'appesantit pas sur les différences religieuses, mais essaye de relayer un message d'espoir à tous ceux que l'agitation perpétuelle de la société moderne déçoit. S'il met en tout particulier les chrétiens au défi de mettre leur foi en pratique, tout homme, chrétien ou non peut participer au mouvement vers cette civilisation d'amour.

En prenant à bras le corps cette culture de la vie et en se faisant la voix des personnes les plus marginalisées et de celles considérées par la société comme des fardeaux inutiles, les chrétiens peuvent changer la donne et le cours que prend la société. Anderson fait la démonstration que, quelles que soient les différences culturelles qui nous séparent, la place centrale de l'amour et du dévouement pour l'autre peuvent nous réunir. Son message est un message d'inclusion et d'espoir au sein même du choc des cultures. Ce faisant, il saura guider les chrétiens et les aider à comprendre le rôle qu'ils ont à jouer dans le monde.

« Que l'Esprit Saint vous rende inventifs dans la charité, persévérants dans vos engagements et audacieux dans vos initiatives, pour contribuer à l'édification de la " civilisation de l'amour ". »
- Le pape Benoît XVI, Journées Mondiales de la Jeunesse, 2007

« Dans ces pages, Anderson accomplit de sérieuses prouesses intellectuelles, mais le coeur de son message est totalement simple : c'est plutôt par leur comportement personnel que par leur poids électoral que les chrétiens feront de l'Amérique une culture de la vie et de l'amour. Avec grand art, l'auteur mêle théorie et pratique, aboutissant ce faisant à cet objet inédit : un guide pratique pour les idéalistes. »
- John L. Allen JR, chroniqueur, National Catholic Reporter

« Une civilisation de l'amour est un stimulant appel à une nouvelle révolution américaine : une révolution par la vertu. En expliquant pourquoi la liberté doit être la soeur de la vérité et mise au pas par la charité, en nous offrant des suggestions éminemment pratiques pour introduire la vertu et la vérité dans la vie publique, Carl Anderson rend un grand service à tous les américains. Un livre à mettre entre les mains de vos amis qui disent qu'il n'y a rien à faire pour soigner une culture blessée. »
- George Weigel, membre émérite, Centre pour l'Ethique dans la Politique Publique

« Peu d'aspects de la doctrine sociale catholique ont été aussi abondamment affirmés et aussi abondamment ignorés que cet appel à appliquer les enseignements du Christianisme aux problèmes sociaux, politiques et économiques. Carl Anderson, le dynamique dirigeant de la plus grande organisation de laïcs catholiques des Etats-Unis, se fait l'avocat très convaincant de cette idée. »
- Mary Ann Glendon, Professeur de Droit, Université de Harvard

« Le livre d'Anderson regorge d'intuitions brillantes sur le pouvoir de transformation de la foi chrétienne. Une civilisation de l'amour est à la fois un appel à la vertu personnelle et un manuel pour les catholiques qui sont prêts à prendre au sérieux le commandement du Christ qui demande à ses disciples d'être le sel et la lumière du monde. »
- Robert P. George, Professeur de Jurisprudence, Chaire McCormick, Université de Princeton