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Prenant acte des métamorphoses successives de la figure de Dieu et de la religion depuis les Lumières, l'auteur postule cependant que le divin demeure vivant au sein de la modernité, recomposé en tant que transcendance dans l'immanence, le sentiment religieux pouvant difficilement être séparé de l'homme. ©Electre 2024
Dieu dans la modernité
Supprimer la religion, n'est-ce pas supprimer l'homme ?
De l'esthétique de Nietzsche, qui ne peut s'épanouir que dans un monde qui célèbre les funérailles de Dieu, à l'éthique de la transcendance, l'auteur part de la conviction que Dieu est têtu, il résiste contre son meurtre.
Dieu dans la modernité est toujours vivant mais autrement. Il se métamorphose, il se recompose, il esquive le coup de marteau de Nietzsche et échappe à l'éclipse totale, et même partielle, préconisée par les philosophes modernes et postmodernes. Dieu dans la modernité reste toujours l'horizon du monde et de l'histoire. Il serait aussi difficile de séparer l'homme des sentiments religieux. Supprimer la religion, n'est-ce pas supprimer l'homme ?
Le Dieu de la modernité se retire de l'histoire et du monde en laissant l'homme vaquer à ses affaires temporelles. Plutôt que de s'ouvrir au transcendant, il se conçoit d'abord et avant tout comme transcendance dans l'immanence, appelé à construire le monde et l'histoire sans nécessairement l'intervention de Dieu. La rupture épistémologique que l'auteur préconise consiste à fixer le débat philosophique sur l'homme comme un existé fondamentalement religieux. N'est-ce pas rejoindre l'épistémologie des Lumières ?
Paru le : 03/12/2012
Thématique : Théologie chrétienne
Auteur(s) : Auteur : Augustin Ramazani Bishwende
Éditeur(s) :
L'Harmattan
Collection(s) : Pensée africaine
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-336-00128-9
EAN13 : 9782336001289
Reliure : Broché
Pages : 291
Hauteur: 22.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 1.6 cm
Poids: 375 g