Correspondance échangée de février à août 1841 entre la fondatrice et le pasteur fondateur de la Maison des diaconesses de France devenue par la suite la Communauté des diaconesses de Reuilly. Elle révèle deux personnalités marquées par la foi en Jésus-Christ et une solidarité envers les pauvres. ©Electre 2024
Oh ! Quelle joie, quel privilège, quel bonheur de pouvoir travailler ensemble à l'oeuvre de notre Dieu ! »
Cette exclamation - prononcée par le pasteur Antoine Vermeil à Caroline Malvesin - est à l'origine de la fondation de la « Maison des Diaconesses de France », des « Soeurs de charité protestantes », devenue depuis La communauté des Diaconesses de Reuilly.
La correspondance entre les deux, elle, la fondatrice et lui, le pasteur fondateur, est empreinte de cet esprit de joie. Leur échange commence le 6 février 1841 et se termine le 31 août de cette même année. S'y rencontrent deux personnes marquées dans toute leur existence par la foi en Jésus-Christ, Jésus-Christ solidaire des pauvres, deux esprits ouverts, prêts à surpasser les disputes dans lesquelles se perdaient les différentes orientations théologiques de l'époque, mais surtout deux disponibilités, deux disponibilités à agir et à entendre la voix qui leur montrait le chemin à prendre.
C'est peut-être là aussi l'origine de cette joie : elle tient à la conviction que ce qui est à faire est nécessaire, elle se fonde sur une confiance, confiance en un appel.
Hans-Christoph Askani
Extraits de l'introduction
Paru le : 19/11/2007
Thématique : Protestantisme
Auteur(s) : Auteur : Caroline Malvesin Auteur : Antoine Vermeil
Éditeur(s) :
Olivétan
Collection(s) : Non précisé.
Contributeur(s) : Préfacier : - Préfacier : Hans-Christoph Askani - Commentateur de texte :
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-915245-93-6
EAN13 : 9782915245936
Reliure : Broché
Pages : 230
Hauteur: 24.0 cm / Largeur 16.0 cm
Épaisseur: 1.7 cm
Poids: 460 g
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