M. Chadebech, alias Commandant Carron, évoque l'un des maillons essentiels de la Résistance : la lutte armée. Il explique ce qu'était la vie d'un maquis et rappelle que sans l'appui d'une partie de la population environnante pour les soutenir et les ravitailler, les résistants n'auraient pas tenu. Le livre se termine sur les combats de la Libération. ©Electre 2024
...L'évocation de Dardel, le cheminot FTPF, dit «Muller»... m'a ému, tout comme celle du Caladois Desthieux dans le «travail de mémoire» qu'a tenté Marcel Chadebech.
...» Au début fut le verbe» dit-on quelque part.
Ces résistants, par l'écrit clandestin, affirmaient contre la haine une supériorité morale sur l'ennemi, nazis et miliciens, pourtant en apparence triomphant.
Marcel Chadebech, alias «Commandant Carron» pense devoir insister sur le rôle de ses camarades communistes avec une pointe de fierté pour Lyon PTT-gare. Ils furent tous, comme mon fidèle ami Camille Vallin, contraints à l'action violente et physique en milieu urbain à leur corps défendant. Car ils étaient des «pacifistes» dans l'âme et des amoureux de la vie, une rigotte et un Viognier faisaient leur bonheur; et non des professionnels de la violence et encore moins de la guerre.
Paru le : 01/12/2004
Thématique : Autres biographies Histoire du monde - Généralités
Auteur(s) : Auteur : Marcel Chadebech
Éditeur(s) :
Aléas
Collection(s) : Non précisé.
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782843011115
Reliure : Broché
Pages : 255
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 15.0 cm
Poids: 0 g
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