Au moment de l'interdiction du KPD, les formations paramilitaires comptent plus de 100.000 militants communistes et la ligue Antifa 250.000. La répression nazie entraîne différentes attitudes : certains, découragés par la défaite, se retirent du combat politique, d'autres, minoritaires, collaborent avec le régime, d'autres encore constituent des organisations clandestines. ©Electre 2024
Selon l'histoire officielle, la résistance allemande au nazime fut le fait de quelques humanistes isolés, comme les étudiants de la «Rose blanche» et des officiers qui tentèrent de tuer Hitler le 20 juillet 1944. La résistance communiste est tenue pour inexistante. Et pourtant...
Des saboteurs qui envoient par le fond des dizaines de navires, des propagandistes qui publient et diffusent la presse clandestine du premier au dernier jour du IIIe Reich, des guerilleros qui résistent victorieusement aux détachements SS, des taupes qui informent quotidiennement l'Armée rouge des plans de bataille hitlériens, des ouvriers qui envoient au rebut la production de toute une année d'une usine aéronautique... Dans les usines, les prisons, les maquis, la résistance antinazie des communistes allemands a été menée dans des difficultés inconcevables et au prix de sacrifices inouïs. Cette lutte constitue une page de gloire, mais aussi une expérience précieuse - ce qui permet d'expliquer les misérables mensonges de l'histoire occidentale à son sujet.
Paru le : 15/02/2008
Thématique : Histoire du monde - Généralités
Auteur(s) : Auteur : T. Derbent
Éditeur(s) :
Aden éditions
Collection(s) : Petite bibliothèque d'Aden
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-930402-65-9
EAN13 : 9782930402659
Reliure : Broché
Pages : 115
Hauteur: 17.0 cm / Largeur 12.0 cm
Épaisseur: 1.0 cm
Poids: 110 g
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