Etude de l'art de Klein, et de son refus de l'ésotérisme et de l'occultisme dans ses oeuvres, pour se consacrer à la sensualité de la chair. Pour J.-M. Ribettes, psychanalyste et critique d'art, ces oeuvres ne sont jamais ambiguës, toujours sincères, et ne s'enlisent pas dans le mysticisme contrairement à ce qu'affirmait C. G. Jung. ©Electre 2024
Ce livre est une réponse au Feu au coeur du vide (2000) de Pierre Restany. Tourner le dos à l'obscurantisme, délivrer le Peintre monochrome des oripeaux ésotériques où il est enseveli depuis quarante ans et lui consentir le bénéfice d'une nouvelle vie, tel est le point de départ. Pour contredire aux obscures exégèses jungiennes, les propres déclarations de l'artiste condamnent absolument l'occultisme. Avec une constance et une sincérité qui ne souffrent aucune ambiguïté, ses écrits refusent l'obscurantisme et les sectes, réfutent le spiritisme, repoussent l'alchimie, rejettent le nihilisme. Loin de la doxa et de la négativité qui font écran aux significations de son art, il est montré que Klein n'opte que pour la lumière, pour la sensualité, pour la Chair.
Paru le : 14/03/2003
Thématique : Histoire de la peinture
Auteur(s) : Auteur : Jean-Michel Ribettes
Éditeur(s) :
Lettre volée
Collection(s) : Palimpsestes
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782873171964
Reliure : Broché
Pages : 234
Hauteur: 18.0 cm / Largeur 12.0 cm
Épaisseur: 2.1 cm
Poids: 264 g
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