Norma Jean Baker se transforma en Marilyn Monroe sous l'objectif amoureux de celui qui la perdit lors de cette métamorphose : A. De Dienes (1913-1985), qui non seulement la photographia mais tint aussi un journal. ©Electre 2024

«Un must pour tous les fans. Cette publication TASCHEN qui contient les mémoires de de Dienes, une sélection de ses photographies et un millier de clichés sur planches-contacts, constitue à la fois le chapitre manquant et le dernier mot de la plus grande légende du cinéma.»

The Independent, Londres

«Dans cette somptueuse collection d'André de Dienes, Norma Jeane nous apparaît dans toute son invraisemblable pureté.»

Entertainment Weekly, Columbus, Ohio

«Des images d'une Marilyn fraîche, insouciante et sans complexe, flirtant avec l'objectif sur la plage, dans la neige, dans les grands espaces de l'Ouest américain. Une enfant de la nature et une merveille naturelle.»

Der Spiegel, Hambourg

La vie du photographe de mode André de Dienes fut bouleversée un jour de 1945, lorsqu'il rencontra une adorable jeune femme du nom de Norma Jeane Dougherty. Ils partirent sur les routes, à l'aventure, et de Dienes photographia Norma Jeane dans différents décors naturels. Les photos, originales et inspirées, contribuèrent à lancer sa carrière de mannequin et, plus tard, de comédienne qui devait entrer dans la légende.

Leur relation, jalonnée de multiples moments intimes, est racontée en détails dans le journal de de Dienes, retrouvé à sa mort en 1988 lorsque des fans de Marilyn ravagèrent sa maison. Les photos - plusieurs milliers - retracent la naissance d'une icône et constituent un regard inestimable sur les débuts d'une carrière qui la propulsera au sommet de la gloire - et de la tragédie.

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«Quand Norma Jeane se présenta à ma porte plus tard dans l'après-midi, je crus à un miracle. Je clignai des yeux ébahis. On aurait dit un ange... Elle me fit un effet monstre. A mesure que les minutes passaient, j'étais de plus en plus sous le charme. Entre nous, le courant passa instantanément. Elle réagissait à tout ce que je disais. Elle commença par regarder autour d'elle dans la pièce, examinant les photos aux murs et posant des questions. Je sentis tout de suite qu'elle était spéciale, différente de la plupart des autres filles et des modèles que j'avais rencontrés jusque là... Elle était totalement sincère. Elle ne tenait pas à parler d'elle-même, se contentant de répondre à mes questions... Je m'en souviens encore comme si c'était hier.»

André de Dienes, 1983