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TRE VOCI – Kashkashian, Piccinini, Magen – ECM
Le raffinement des timbres de trois musiciens complices dont une des plus grandes altistes de notre temps au service d'œuvres peu jouées de Takemitsu, Debussy et Gubaidulina. Finesse harmonique et jeu de cache-cache. |
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MERCHANDISE- After the end – 4AD
Le fameux label anglais accueille en son sein ce trio floridan dont le lyrisme et la poésie nous fait irrémédiablement penser à The National et Red House Painters. A suivre de près... |
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THE AUTEURS "After murder park"
En 1996, lors de la sortie de ce troisième album des Auteurs, Luke Haines décidait de laisser libre cours à deux de ses principales obsessions : le rock pur et dur et les histoires criminelles : chacun des 12 morceaux nous plonge dans un récit très sombre (mais très souvent avec une pointe d'humour "so british". Quant au côté rock abrasif, il suffit de préciser que l'album a été produit par Steve Albini pour comprendre de quoi il retourne. A noter que les quatre premiers albums du groupe londonien ont fait l'objet d'une réedition cette année : "How I learn to love the bootboys", "Now i'm a cowboy" et l'autre chef d'ouevre de Luke Haines, "New wave" sorti en 1993 et qui est probablement l'un des meilleurs disques de pop sorti dans les années 90. |
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GUILLAUME PERRET – Open me – Kakoum records
Lancé par John Zorn, ce jeune saxophoniste au son puissant et moderne nous offre un deuxième album ouvert aux valeurs sacrées du jazz rock : virtuosité, groove et fusion culturelle. |
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STILE ANTICO “From the imperial court Music for the house of Hapsburg” harmonia mundi
Entre polyphonies flamande et espagnole du XVe et XVIe siècle, L'ensemble nous transporte à l'époque de la Renaissance pour nous faire découvrir l'univers musical de la plus illustre dynastie d'Europe ( la dynastie des Habsbourg ). Un enregistrement remarquable et d'une grande finesse ! |
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DEAD COMBO "A bunch of meninos"
Le duo portugais revient un an après "Lisboa mulata" pour un album instrumental qui vous prend par la main et vous emmène dans les quartiers les plus sombres de Lisbonne. Évoquant tour à tour Ennio Morricone ou Lalo Schifrin, Dead Combo s'invente la bande-son d'un film noir, entre guerre de gangs, hôtels borgnes et règlements de comptes. |
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