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Philippe Georget et Donato Carrisi, lauréats du prix SNCF du polar

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Publié le 29/04/2011
Pour sa 11ème édition, le prix SNCF du polar a consacré Philippe Georget, prix du meilleur polar français pour L'été tous les chats s'ennuient (Jigal) et l'Italien Donato Carrisi, prix du meilleur auteur européen pour Le chuchoteur (Calmann-Lévy).
Créé en 2000, le Prix SNCF du polar est le premier prix de lecteurs en France. De tous âges et régions confondus, rassemblés par leur passion commune du roman policier, plusieurs milliers de lecteurs s'inscrivent gratuitement sur polar.sncf.com pour couronner chaque année un auteur français et un européen : cette année, le jury comprenait près 8000 lecteurs !

Pour faire partie des romans sélectionnés et soumis au vote du public, les polars devaient présenter les caractéristiques suivantes : « originalité, force, découverte, écriture et plaisir ». Tout est dit, me direz-vous ? Et bien non ! Nos libraires aussi ont à dire...

Voici ce qu'ils écrivaient sur le site il y a quelques semaines à propos du roman de Donato Carrisi, Le chuchoteur : « Si vous aimez les thrillers terribles - voire terrifiants - avec serial killers à vous glacer le sang, dans la lignée de Mo Hayder ou de Thomas Harris, alors c'est sûr, ce livre est pour vous ! ! Ce premier roman de Donato Carrisi, violent, réaliste et documenté, vous tiendra en haleine dans une apnée infernale à tel point que tout chuchotement intempestif de votre voisin de plage vous fera sursauter de terreur ! »

Le lauréat du prix du meilleur polar français, Philippe Georget, est né en 1963 quelques jours après la mort de Kennedy, sans qu'il n'y ait apparemment de rapport ! Grand voyageur, journaliste, curieux de l'âme humaine, il a le don de nous faire sentir, avec une certaine délectation, l'atmosphère qui transpire par tous les pores de son roman !
L'été tous les chats s'ennuient débute avec Robert, ouvrier ajusteur à la retraite, qui a conservé les habitudes de sa vie active et se lève chaque jour à 4 heures du matin. C'est la raison pour laquelle c'est lui qui découvre le corps de la jeune Hollandaise, sa voisine au camping des Lauriers-roses, après sa promenade matinale. Le commissaire de Perpignan, Gilles Sebag, flic désabusé et rongé par la routine va alors se retrouver malgré lui au centre d'un jeu vraiment diabolique...

Les éditions Jigal ont publié en février dernier le second roman de Philippe Georget : Le paradoxe du cerf-volant.