Visa pour le monde : le voyage autrement
En avril 2024 paraissait le Visa pour l'Éthiopie, le premier volume d'une collection qui compte aujourd'hui 12 titres et qui continue de se développer. Sous le format de livres de poche, ces carnets prennent la forme d'un dictionnaire dont l'objectif est de nous faire découvrir une région du monde et sa culture. On y retrouve des indications historiques, étymologiques et culturelles, mais aussi des tranches de vie, les mœurs et des sujets plus sociaux. Chacun de ces carnets compte une sélection de mots associés à une carte incluse au tout début et dépliable, qui permet d'ancrer notre lecture dans le réel et de ne pas nous égarer en chemin. Lire « Visa pour le monde », c'est voyager sans partir de chez soi, aller à la rencontre des peuples depuis son canapé et mieux comprendre sa potentielle prochaine destination.La Guadeloupe et le Botswana : les deux nouveautés de cette rentrée littéraire
Estelle-Sarah Bulle est une autrice franco-belge d'origine guadeloupéenne qui s'est fait connaître en 2018 avec son roman Là où les chiens aboient par la queue, primé à plusieurs reprises. Elle était venue nous le présenter lors du festival Lettres du monde 2018. Elle a depuis sorti, début 2025, un livre sur son métissage, Histoire sentimentale de mes cheveux, et elle nous présente aujourd'hui sa terre d'origine dans un nouveau « visa », celui pour la Guadeloupe.Arnaud Fleury est quant à lui explorateur. Il a mené avec l'ONG Terra Déserta l'expédition « Kalahari, sur les pistes inexplorées », expédition dont le but était l'étude des couloirs migratoires de la faune locale. Son travail lui a permis de découvrir le Botswana, sa faune bien sûr, mais aussi ses habitants, leur culture et leurs coutumes, et il nous partage ses découvertes dans son Visa pour le Botswana.