Ce dossier a pour ambition d'éclairer et valoriser la notion de domaine public. Une série de contributions et d'entretiens s'attachent à mieux le définir et à proposer une législation adaptée à notre époque. Suit un florilège d'oeuvres ou d'extraits d'oeuvres entrées dans le domaine public le 1er janvier 2014. ©Electre 2024
«Tomber dans le domaine public»... ça fait mal ? D'où vient cette conception négative et dévalorisante du domaine public ? Les artistes et les génies du passé ne valent-ils plus rien pour les lecteurs, auditeurs, spectateurs, comme pour les éditeurs et tous ceux qui vivent de la culture ? Ce n'est évidemment pas le cas. On pourrait donc définir le domaine public de façon moins négative. La période de propriété est une incitation à la production d'oeuvres. Le domaine public représente l'intérêt général. Une cohabitation harmonieuse est possible, comme Jean Zay ou l'association Communia l'imaginent. Chaque année le domaine public s'agrandit, ce qui permet la redécouverte, la réédition et le partage des oeuvres. Les outils numériques peuvent favoriser cette exploration de notre patrimoine commun, et la production de nouvelles oeuvres s'en inspirant.
Paru le : 24/06/2014
Thématique : Droit intellectuel - communication
Auteur(s) : Non précisé.
Éditeur(s) :
C & F éditions
Collection(s) : Non précisé.
Contributeur(s) : Editeur scientifique (ou intellectuel) : Université de Caen Basse-Normandie. Master Edition et mémoire des textes - Directeur de publication : Nicolas Taffin
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-915825-36-7
EAN13 : 9782915825367
Reliure : Broché
Pages : 127
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 1.0 cm
Poids: 170 g
Carte fidélité
Mollat Radio
