Issues d'une université populaire organisée en 2019, ces contributions analysent les pratiques rituelles liées à la mort et au deuil dans différentes cultures et civilisations : en Egypte, en Grèce antique, en Mongolie, en Italie, entre autres. Le recours aux pleureuses, la pratique du chant des morts ou encore la réalisation de photographies post-mortem sont notamment examinés. ©Electre 2025
La mort comme dernier passage
Ce premier numéro inaugure la collection par le tabou de la mort, le dernier des passages. Universellement reconnue, la mort est un argument difficile à prononcer, difficile à traiter, difficile à vivre, même si personne ne peut douter de son existence...
Nous avons choisi cette thématique pour dissiper un tabou et pour essayer d'élargir les horizons au-delà de l'étroite combinaison vie-mort, mort-vie. On sait que l'orientation de la culture occidentale, basée sur des pensées dichotomiques et séparatrices (début-fin, esprit-corps, etc.), a toujours été d'éviter d'y penser, de n'en prononcer jamais le mot, de déplacer ses effets et sa présence, renforçant ainsi le sens d'un homme omnipotent.
Paru le : 11/05/2020
Thématique : Anthropologie
Auteur(s) : Non précisé.
Éditeur(s) :
L'Harmattan
Collection(s) : Rituels de passage : université populaire Trans-ire
Contributeur(s) : Préfacier : Morena Campani
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-343-19394-6
EAN13 : 9782343193946
Reliure : Broché
Pages : 171
Hauteur: 22.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 1.0 cm
Poids: 220 g
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