Un guide pour apprendre à décoder les cartes de menu et choisir correctement son plat au restaurant. L'auteur explique notamment pourquoi ne pas commander du poisson en début de semaine, demander des glaçons dans ses boissons, éviter le pain proposé en corbeille ou proscrire la viande bien cuite. ©Electre 2024

Prendre un repas au restaurant, en famille ou entre amis, c'est un plaisir et ça doit le rester ! Mais pour qu'il soit au rendez-vous, encore faut-il bien choisir l'établissement et arriver à décrypter cartes et menus. Au moment de s'attabler, les pièges et les risques peuvent être nombreux...

Cuisine de terroir, asiatique ou tex-mex, table simple ou établissement de renom... Les possibilités sont (presque) aussi nombreuses que les envies. Et les budgets... Quoiqu'il en soit, la fête promet d'être grandiose. À moins qu'un plat mal choisi vienne tout gâcher...

Car il ne faut pas s'y tromper : quel que soit le niveau de l'établissement, les risques peuvent être nombreux. Tous les chefs n'ont pas forcément l'amour du « petit plat bien mitonné ». C'est certes très regrettable, mais c'est un fait indéniable. Et il y a donc certains plats qui sont à éviter ab-so-lu-ment ! Au moins dans certains établissements, certains jours de la semaine ou à certains moments de la journée.

Pourquoi faut-il éviter de prendre du poisson en début de semaine ? Pourquoi ne jamais demander de glaçons ? Pourquoi faut-il limiter les plats à base de sauce de soja et éviter le pain proposé en corbeille ? Pourquoi faut-il éviter d'aller au resto le soir de la Saint-Valentin ? Pourquoi la viande « bien cuite » est-elle à proscrire ? Quel est le piège qui se cache sous le bun du burger dit « gastronomique » ? Pourquoi ne jamais commander de vin au verre ?

Autant de questions et autant de réponses pertinentes, qui vous permettront de mieux décoder les cartes ou l'argumentaire d'un serveur particulièrement « tchat- cheur ». Autant de révélations qui feront de vos prochaines soirées au resto des sorties inoubliables. Dans le bon sens du terme, désormais...