en savoir plus
Permet à tous ses détenteurs d'obtenir 5% de réduction sur tous les livres lors du retrait en magasin (réduction non cumulable avec les réductions de type étudiant).
Offre également un certain nombre d'avantages auprès de nos partenaires.
Avec les favoris, retrouvez dans un espace les sélections effectuées au fur et à mesure de vos navigations dans le site.
Constituez pour votre usage personnel vos listes de livres en prévisions d'achats futurs et votre sélection d'articles, dossiers, événements, vidéos ou podcasts préférés ou à découvrir plus tard...
Il suffit simplement de cliquer sur "Ajout Favori" sur chaque page qui vous intéresse pour les retrouver ensuite dans votre espace personnel.
Requiert un compte Mollat
Requiert un compte Mollat
Une étude d'un schéma iconographique inspiré de l'Antiquité et illustrant la polarité de la Pathosformel d'Aby Warburg ainsi que d'un plaidoyer de Francesco Maria Molza contre Lorenzino de Médicis qui avait décapité des statues de l'arc de Constantin. Le but est de montrer les liens convergents entre les mouvements culturels que sont la peinture maniériste et la nouvelle éloquence cicéronienne. ©Electre 2025
Marcantonio Michiel, patricien de Venise en séjour à Rome, dans une lettre de 1519 qu'on peut considérer comme un incunable du maniérisme et du cicéronianisme, rend compte de la crise qui agitait alors les letterati : le duel oratoire entre le Belge Christophe Longueil et le Romain Celso Mellini. Dans la même missive, Michiel parle des peintures auxquelles travaillaient alors Raphaël, Sebastiano del Piombo et Baldassare Peruzzi, toutes porteuses des caractéristiques du premier maniérisme.
La Ire Partie du livre présente quarante illustrations d'un motif remontant à l'Antiquité - un motif susceptible de stimuler les artistes maniéristes dans la recherche de l'invenzione et de nouveaux modes d'expression.
La IIe Partie analyse le discours de Francesco Maria Molza, un des grands poètes du moment, qui a « déchiré en latin » Lorenzino de Médicis (le Lorenzaccio de Musset), coupable d'avoir décapité plusieurs sculptures de l'arc de Constantin. Cette plaidoirie implacable offre un admirable reflet de l'art des cicéronianistes.
Le parallélisme que Michiel a ainsi pressenti se manifeste de façon éclatante dans l'utilisation conjointe, par les cicéronianistes et les maniéristes, des traités d'éloquence de Cicéron et de Quintilien, qui seuls servaient de guides aux artistes et aux théoriciens d'art.
Paru le : 23/04/2021
Thématique : Histoire de la peinture
Auteur(s) : Auteur : Jean-Marc Moret
Éditeur(s) :
Slatkine
Honoré Champion
Collection(s) : Non précisé.
Contributeur(s) : Collaborateur : Domingo Gasparro
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-05-102870-7
EAN13 : 9782051028707
Reliure : Broché
Pages : 408
Hauteur: 24.0 cm / Largeur 16.0 cm
Épaisseur: 2.5 cm
Poids: 1301 g