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Un coup de coeur de Margaux M.
Trois fêtes de Noël et trois consoles de jeux : de jolis cadeaux que ce garçon et son frère jumeau auraient préférés si leur père n'était pas de plus en plus absent…
Anthony Passeron signe un deuxième roman très intime en liant ses souvenirs d’enfance et sa découverte des jeux vidéos à la relation qu’il entretenait avec son père. En trois Noël et trois consoles de jeux, Jacky aura initié ses deux fils à cette nouvelle activité commune, mais bientôt, elle sera surtout le dernier lien, très mince, qui unit Anthony et son frère à leur père, de plus en plus absent.
Par l'histoire des jeux vidéos, de Nintendo à Sega, de Pong à Super Mario Bros et Zelda, des soirées films avec son père à regarder les cassettes VHS de La guerre des étoiles, Blade Runner, ou du Jean-Claude Van Damme entre copains : Anthony Passeron nous entraîne dans les années 90 avec nostalgie. En un message d’amour à ce père déserteur qui a pourtant laissé la blessure de l’adolescence, l’auteur réussit à dépeindre l’intimité d’une famille en proie aux difficultés avec la lumière et l’innocence de l’enfance, de celui qui, derrière son écran, se plonge dans la fiction révolutionnaire des images qui défilent. En toile de fond, le drame de la famille, que le lecteur du premier roman de l’auteur, Les enfants endormis, connaît, et que le nouveau lecteur comprendra sous le regard de Jacky, ce père dur et taiseux, qui semble empli de chagrins, et de son fils.
C’est non seulement la jeunesse d’une banlieue niçoise des années 90 qu’Anthony Passeron parvient à raconter avec honnêteté et talent, en y replaçant affectueusement son territoire intime, mais c’est aussi celui de toute une génération d’aficionados de la manette et du petit et grand écran.
Un roman à mettre entre toutes les mains et qui traverse les générations !
Par l'histoire des jeux vidéos, de Nintendo à Sega, de Pong à Super Mario Bros et Zelda, des soirées films avec son père à regarder les cassettes VHS de La guerre des étoiles, Blade Runner, ou du Jean-Claude Van Damme entre copains : Anthony Passeron nous entraîne dans les années 90 avec nostalgie. En un message d’amour à ce père déserteur qui a pourtant laissé la blessure de l’adolescence, l’auteur réussit à dépeindre l’intimité d’une famille en proie aux difficultés avec la lumière et l’innocence de l’enfance, de celui qui, derrière son écran, se plonge dans la fiction révolutionnaire des images qui défilent. En toile de fond, le drame de la famille, que le lecteur du premier roman de l’auteur, Les enfants endormis, connaît, et que le nouveau lecteur comprendra sous le regard de Jacky, ce père dur et taiseux, qui semble empli de chagrins, et de son fils.
C’est non seulement la jeunesse d’une banlieue niçoise des années 90 qu’Anthony Passeron parvient à raconter avec honnêteté et talent, en y replaçant affectueusement son territoire intime, mais c’est aussi celui de toute une génération d’aficionados de la manette et du petit et grand écran.
Un roman à mettre entre toutes les mains et qui traverse les générations !
