Résumé
Une étude des liens, réels et symboliques, qui unissent les jeunes à la nature à travers des contributions multidisciplinaires sur les rites de puberté sociale dans des sociétés où le vivant occupe une place centrale (Guyane, Brésil, Amazonie). La perte de ce lien au vivant dans les sociétés occidentales urbanisées, industrialisées et informatisées est également interrogée. ©Electre 2025
Quatrième de couverture
Dégradation de la biodiversité, dérèglement climatique... les jeunes grandissent aujourd'hui dans un contexte devenu menaçant. Comment renouer avec le vivant ? Quels liens nous unissent encore à la nature ?
C'est l'objet de ce livre qui étudie des sociétés où le vivant occupe toujours une place centrale et d'autres où le lien au vivant a été perdu.
Les plantes, les animaux jouent, dans certaines sociétés (Amazonie, Afrique centrale, Océan Pacifique...), un rôle majeur dans les rites de puberté sociale : objets rituels, symboles de purification, de guérison... Comment, grâce à ces expériences, les jeunes s'approprient-ils leur environnement ? Mais ce livre interroge aussi la perte de ce lien au vivant dans les sociétés occidentales urbanisées, industrialisées, connectées... Comment réapprendre à vivre avec lui ?
Cet ouvrage explore des horizons d'une incroyable richesse, des modèles d'autres cultures, et interroge l'éducation et le faire grandir en Occident. Un ouvrage rare, novateur et essentiel, au coeur des enjeux contemporains.
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