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Un coup de coeur de Mollat
Un homme politique russe et un chef religieux japonais, issus de cultures et de religions différentes, engagent une large discussion et tirent les leçons du siècle passé.
Ils croient au pouvoir de la parole et l'utilisent pour tenter une alliance entre le politique et le culturel dans la recherche d'un nouvel humanisme.Si l'aspiration à une égalité totale entre les individus nous a souvent entrainé à la destruction et au gommage de nos particularités ethniques, comment maintenir les pierres angulaires de la foi et de la culture ?
De là naît toute la richesse de ce dialogue. Les questions se succèdent et on retrouve avec plaisir Mikhail Gorbatchev, grand initiateur de la perestroika, entre vie privée et vie politique, et Daisaku Ikeda, moins connu en Europe, qui apporte à cet entretien toute sa dimension spirituelle.
Dans une mosaique d'impressions et d'idées, chacun mêle sa culture et son histoire tout en restant persuadé que seuls les êtres humains devraient être le critère universel pour juger de la validité de toutes les thèses scientifiques ou de toutes les idées.
Et nous voulons les croire, nous nous laissons charmer par le courant humaniste de ce dialogue, axé sur le rapprochement. Nous allons jusqu'à espérer une éducation humanitaire fondée sur l'expérience morale de toute l'humanité et de la sagesse de toutes les grandes religions. Et nousnous substituons même à la pensée de Daisaku Ikeda, en annonçant pour cette nouvelle année :
"Il n'y a pas de frontières entre états,
Pas de différences de race ni de sexe.
Il n'y a qu'une seule vérite : l'homme."
De là naît toute la richesse de ce dialogue. Les questions se succèdent et on retrouve avec plaisir Mikhail Gorbatchev, grand initiateur de la perestroika, entre vie privée et vie politique, et Daisaku Ikeda, moins connu en Europe, qui apporte à cet entretien toute sa dimension spirituelle.
Dans une mosaique d'impressions et d'idées, chacun mêle sa culture et son histoire tout en restant persuadé que seuls les êtres humains devraient être le critère universel pour juger de la validité de toutes les thèses scientifiques ou de toutes les idées.
Et nous voulons les croire, nous nous laissons charmer par le courant humaniste de ce dialogue, axé sur le rapprochement. Nous allons jusqu'à espérer une éducation humanitaire fondée sur l'expérience morale de toute l'humanité et de la sagesse de toutes les grandes religions. Et nousnous substituons même à la pensée de Daisaku Ikeda, en annonçant pour cette nouvelle année :
"Il n'y a pas de frontières entre états,
Pas de différences de race ni de sexe.
Il n'y a qu'une seule vérite : l'homme."
