en savoir plus
Permet à tous ses détenteurs d'obtenir 5% de réduction sur tous les livres lors du retrait en magasin (réduction non cumulable avec les réductions de type étudiant).
Offre également un certain nombre d'avantages auprès de nos partenaires.
Avec les favoris, retrouvez dans un espace les sélections effectuées au fur et à mesure de vos navigations dans le site.
Constituez pour votre usage personnel vos listes de livres en prévisions d'achats futurs et votre sélection d'articles, dossiers, événements, vidéos ou podcasts préférés ou à découvrir plus tard...
Il suffit simplement de cliquer sur "Ajout Favori" sur chaque page qui vous intéresse pour les retrouver ensuite dans votre espace personnel.
Requiert un compte Mollat
Requiert un compte Mollat
Pour les auteurs, une gauche de rupture doit défendre l'idée de l'antiproductivisme. Or, le capitalisme comme le socialisme ayant été productivistes, elle doit se faire plus radicale afin de doubler sa critique du capitalisme d'une critique de l'anticapitalisme. Les essais ici réunis ouvrent des pistes pour combiner impératif écologique, révolution citoyenne, décroissance. ©Electre 2025
La gauche des luttes ne peut-elle se définir que négativement ? Elle est antilibérale, anticapitaliste, souvent antinucléaire, anti-ogm, anti-gaz de schiste... Au mieux, quand elle se fatigue des luttes « contre », quand elle essaie de proposer des « pour » et des « avec », semble-t-elle pouvoir se définir en référence au monde qu'elle critique, de façon « alter » : altermondialisme, alter-développement ; ou « slow » : slow food, slow city, slow money...
Pourquoi devrait-elle maintenant se prétendre antiproductiviste ? Est-ce seulement possible ? Car le productivisme a appartenu au logiciel commun de la gauche et du monde qu'elle prétendait critiquer.
Une gauche antiproductiviste devra doubler sa critique du capitalisme d'une critique des critiques classiques du capitalisme. Autant dire qu'il y a là un potentiel de radicalité que la gauche n'a peut-être jamais osé approcher.
Comment atteindre une telle radicalité ? Suffit-il d'ajouter au rouge du socialisme le vert de l'écologie pour obtenir une réelle transition vers une société libérée de la religion du progrès et de la croissance ? Suffit-il d'ajouter au refus du productivisme le rejet du consumérisme pour pouvoir construire un monde de juste répartition de la richesse et de respect de la nature ?
Paru le : 15/05/2013
Thématique : Essais d'économie
Auteur(s) : Non précisé.
Éditeur(s) :
Parangon
Collection(s) : La vie est à nous !
Contributeur(s) : Directeur de publication : Michel Lepesant
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-84190-234-7
EAN13 : 9782841902347
Reliure : Broché
Pages : 227
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 11.0 cm
Épaisseur: 1.8 cm
Poids: 228 g