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Analyse technique et artistique du procédé : les différents points de vue visuels, d'où le spectateur observe la scène (champ-contrechamp, semi-objectif, objectif, etc.), et le point de vue narratif à partir d'un personnage. Avec des exemples de films. ©Electre 2024
Dès qu'un cinéaste ou simple «opérateur» décide de placer sa caméra à un endroit précis, il adopte un «point de vue» par rapport à ce qu'il regarde. Le «point de vue» est donc inhérent au cinéma, encore faut-il savoir ce que l'on en fait. Le photographe amateur, le cinéaste, aujourd'hui le manieur de caméra DV est bien obligé de choisir sa place pour enregistrer quelque chose. Il a nécessairement un «point de vue» sur ce qu'il montre. Appelons le «point de vue quelconque» ou «point de vision». En revanche, celui qui se pose quelques questions sur ce qu'il veut montrer et surtout comment il veut le montrer, est amené à faire des choix qui ne relèvent pas seulement de la définition classique du Petit Robert où du Guide Michelin : «Lieu d'où l'on voit un objet (un paysage) le mieux possible, où l'on jouit d'une vue pittoresque». Il envisage de transmettre une «vision» au sens fort du terme, une manière de voir le monde. Cette approche repose sur de nombreux classiques du cinéma, de Citizen Kane d'Orson Welles à Bonjour de Yasijiro Ozu, en passant par deux films de cinéastes dont la démarche toute entière est déterminée par la notion de point de vue et qui en ont fait le sujet de certains de leurs films, Alfred Hitchcock avec Fenêtre sur cour (1954) et Fritz Lang avec Chasse à l'homme (Man Hunt, 1941).
Paru le : 07/11/2001
Thématique : Cinéma animation
Auteur(s) : Auteur : Joël Magny
Éditeur(s) :
Cahiers du cinéma
Canopé éditions
Collection(s) : Les petits cahiers
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782866422882
Reliure : Broché
Pages : 94
Hauteur: 20.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 0.8 cm
Poids: 201 g