en savoir plus
Permet à tous ses détenteurs d'obtenir 5% de réduction sur tous les livres lors du retrait en magasin (réduction non cumulable avec les réductions de type étudiant).
Offre également un certain nombre d'avantages auprès de nos partenaires.
Avec les favoris, retrouvez dans un espace les sélections effectuées au fur et à mesure de vos navigations dans le site.
Constituez pour votre usage personnel vos listes de livres en prévisions d'achats futurs et votre sélection d'articles, dossiers, événements, vidéos ou podcasts préférés ou à découvrir plus tard...
Il suffit simplement de cliquer sur "Ajout Favori" sur chaque page qui vous intéresse pour les retrouver ensuite dans votre espace personnel.
Requiert un compte Mollat
Requiert un compte Mollat
Octobre 1914, les Allemands se préparent à envahir la ville flamande de Dixmude. Pour les ralentir et barrer la route de Dunkerque, l'armée française ne dispose que de quelques milliers de très jeunes marins dont la plupart n'ont pas encore 18 ans. L'ordre est donné de tenir quatre jours mais les fusiliers parviennent à résister trois semaines avant d'évacuer. ©Electre 2025
« Sacrifiez-vous. Tenez au moins quatre jours. »
Défendre Paris, telle est la mission donnée à de jeunes marins en août 1914. Pour la plupart rameutés des principaux ports militaires de France - Lorient, Brest et Cherbourg -, ils composent une unité hétéroclite, dernier rempart de la capitale alors que l'ennemi approche dangereusement.
Rapidement envoyés en Belgique après le « miracle » de la Marne, ils se voient bientôt chargés d'arrêter l'ennemi sur l'Yser, alors que le duc de Wurtemberg tente d'y percer le front en direction de Furnes et Dunkerque.
40 000 Allemands se lancent à l'assaut de Dixmude défendue par ces 6 500 marins surnommés, en raison du caractère juvénile de leur visage, les « demoiselles aux pompons rouges ». Beaucoup n'ont pas 18 ans. Engagés dans la marine à 16 ans, comme mousses, ils vont connaître leur baptême du feu, à terre, dans les plaines de Flandre.
Après une formidable préparation d'artillerie, les Allemands attaquent. Les combats seront terribles et se termineront au corps à corps, à la baïonnette. Les pertes des défenseurs sont effroyables : un homme sur deux est mort ou hors de combat. Mais les « demoiselles aux pompons rouges » ont tenu près d'un mois avant de recevoir l'ordre d'évacuer la ville. Cette résistance héroïque permettra de briser l'offensive ennemie et de stabiliser le front.
Cet épisode, pourtant méconnu, constitue l'une des plus belles pages de l'histoire de la Marine française.
« Benjamin Massieu a soigneusement déconstruit et reconstruit le mythe pour en faire une vraie biographie [...]. Kieffer y compose un personnage fascinant de banquier transformé en guerrier. »
Pierre Grumberg, Science et Vie - Guerres et Histoire
« Un ouvrage précis, documenté et illustré par une iconographie souvent inédite. »
Philippe Chapleau, Ouest-France
« Le Philippe Kieffer de Benjamin Massieu est tout simplement remarquable. Il retrace, comme personne ne l'avait fait avant lui, l'itinéraire complet du père des commandos marine. »
Jean-Dominique Merchet, L'Opinion
Paru le : 24/10/2014
Thématique : Première guerre mondiale
Auteur(s) : Auteur : Benjamin Massieu
Éditeur(s) :
Editions Pierre de Taillac
Collection(s) : Non précisé.
Contributeur(s) : Préfacier : Jean-Yves Le Drian
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-36445-046-2
EAN13 : 9782364450462
Reliure : Broché
Pages : 158
Hauteur: 23.0 cm / Largeur 23.0 cm
Épaisseur: 1.0 cm
Poids: 578 g