Ce guide présenté sous la forme d'un dictionnaire invite à partir à la rencontre des peintres qui se sont formés, installés ou qui ont peint à Paris, du début du XVIIe au XXe siècle. Classées par ordre alphabétique des noms de rues, chacune des entrées décrits des lieux, évoque des peintres y ayant séjournés ou ayant donnés leur nom à la rue et recense des oeuvres représentant la ville. ©Electre 2024

Enfin...

Le premier guide-dictionnaire des peintres à Paris !

> Les adresses de leurs ateliers

> Les bâtiments qu'ils ont décorés

> Les lieux qu'ils ont représentés

> Les rues qui portent leurs noms

> Illustré de 145 photographies anciennes, avec 4 itinéraires

Du début du XVII^e siècle à la fin du XX^e, Paris est la capitale mondiale de la peinture. Des milliers d'artistes viennent s'y former. Ils s'y installent, la peignent, l'embellissent. Notre répertoire, outil pratique et indispensable, invite à retrouver, dans l'ordre alphabétique des rues, les innombrables traces de la présence des peintres : leurs appartements, leurs ateliers, les bâtiments (palais, églises, mairies, hôtels particuliers, murs d'immeubles...) qu'ils ont décorés, les lieux qu'ils ont représentés.

Cette randonnée arpente les voies royales de la scène artistique, avec ses académies, ses cafés, ses ateliers aux grandes verrières. En passant par des lieux plus secrets où rôdent d'illustres fantômes - Renoir, allée des Brouillards ; Toulouse-Lautrec, villa Frochot ; Balthus, cour de Rohan ; Nicolas de Staël, rue Gauguet ; Foujita, square de Montsouris ; Braque dans la rue qui porte son nom... - et par les ateliers devenus des musées : Delacroix, rue de Fürstemberg ; Ary Scheffer, rue Chaptal ; Gustave Moreau, rue de La Rochefoucauld.

Illustres ou tombés dans l'oubli, tous les peintres de ce guide témoignent de l'intensité de la vie artistique de la capitale depuis qu'en 1608 Henri IV a décidé de loger les artistes en son palais du Louvre, pour faire de Paris l'égale de Rome. On croise aussi dans les rues de Paris des peintres de fiction, nés de la fantaisie des romanciers (Balzac, Anatole France, les Goncourt, Georges Perec, Zola ou Pierre Michon...), dont les silhouettes hautes en couleur prennent tout naturellement leur place dans la grande confrérie de la bohème parisienne.