Pour oublier ses peines sentimentales, Tomas Bergheaud décide de parcourir cent kilomètres sur les chemins des monts d'Auvergne. Cette course effrénée rythmée par les souvenirs amoureux allège son corps, son coeur et son esprit. ©Electre 2025

Cent Mille

Pour oublier les peines sentimentales, certains hommes se noient dans l'alcool. Tomas Bergheaud, lui, a choisi de fouler les chemins des Monts d'Auvergne. Cent kilomètres pour alléger le corps, le coeur et l'esprit. Cent mille mètres de réflexion, de tensions et d'émotions physiques captées par l'objectif de l'intellect, de dépassement de soi. Un parcours au rythme des souvenirs amoureux. Une course effrénée, jusqu'au bout, en suivant la ligne bleue du marathonien.

Coureur à pied, Fabrice Lomon libère dans ce roman toute la dimension intellectuelle de l'effort physique. Avec une écriture dont le rythme se fond dans l'élan des foulées, Cent Mille entraîne le lecteur sans jamais l'essouffler.

" Renaître à la vie en combinant souffrance et plaisir, la souffrance du coureur et le plaisir de l'amant, le plaisir du coureur, la souffrance de l'amant. Fabrice Lomon connait bien l'une et l'autre, il en joue dans une langue stupéfiante, une suite d'arabesques complexes et maîtrisées. "
Eric Mettout, rédacteur en chef, L'Express.fr et Lire.fr

« La puissance de Cent mille trouve son origine dans un style heurté, haletant, et dans le souffle d'une narration vigoureuse. Un roman à courir, à grandes foulées. »
Sophie Blandinières, content manager du site We Love Words

« Cent Mille est un roman d'endurance. Dans un style scandé comme la respiration du coureur, la description d'un corps aimant et souffrant, vivant de se sentir souffrant, foulée après foulée, paragraphe après paragraphe. »
Guillaume Teisseire, co-fondateur du site Babelio

« On se laisse emporter par ce narrateur aux foulées souples, à l'énergie inédite, qui sait séduire les femmes, remonter aux sources de ses traumatismes par le détour des mots et avancer à grand pas dans le chemin de la vie. Coureur de fond ? Coureur de forme. »
Elizabeth Gouslan, journaliste, Figaro Madame

« De la littérature qui ressemble à une course à pied, prouesse incontestable. »
Pascale Andréani, diplomate

« Un parallèle fort entre la course à pied et la vie qui fonctionne bien. »
Laurence Herszberg, directrice générale du Forum des Images