Permet à tous ses détenteurs d'obtenir 5% de réduction sur tous les livres lors du retrait en magasin (réduction non cumulable avec les réductions de type étudiant).
Offre également un certain nombre d'avantages auprès de nos partenaires.
Avec les favoris, retrouvez dans un espace les sélections effectuées au fur et à mesure de vos navigations dans le site.
Constituez pour votre usage personnel vos listes de livres en prévisions d'achats futurs et votre sélection d'articles, dossiers, événements, vidéos ou podcasts préférés ou à découvrir plus tard...
Il suffit simplement de cliquer sur "Ajout Favori" sur chaque page qui vous intéresse pour les retrouver ensuite dans votre espace personnel.
Prix Albert-Londres 1976, ancien rédacteur en chef du journal Sud Ouest dont il fut l'un des grands artisans, romancier, Pierre Veilletet nous quitte à l'âge de 69 ans.
Pierre Veilletet entre au journal Sud Ouest en 1968, c'est le début d'une aventure qui va durer plus de 30 ans. Aux côtés de son collègue et ami Jean-Claude Guillebaud, par la qualité de sa plume et de son travail journalistique, il acquiert rapidement une place incontournable au sein du quotidien. Un statut qui se justifie d'autant plus lorsqu'il décroche le prix Albert-Londres 1976 pour sa série d'articles annonçant les prémices de la fin du franquisme. Pilier du journal, Pierre Veilletet en fut aussi l'un des artisans : responsable de Sud-Ouest Dimanche de 1979 à 1989, il sut donner une vraie dimension et une vraie identité au supplément qui devint au fil du temps un véritable hebdomadaire ; de 1989 à 2000, il fut ensuite rédacteur en chef du quotidien.
Sa brillante carrière de journaliste ne doit pas occulter l'œuvre du romancier publié aux éditions Arléa qu'il avait créées avec Catherine et Jean-Claude Guillebaud. Selon Yves Harté, ses romans sont des « pépites », « des écrits à la fois tendres, éblouissants et farouches ». La pension des nonnes fut notamment récompensé par le prix François Mauriac en 1986.