Grâce à leurs stratégies économiques de privatisation, certains pays émergents connaissent une profonde évolution. Les richesses minières et énergétiques de la RDC peuvent offrir une puissance politique, économique et militaire au pays. Mais le système bancaire est inexistant et les banques ne financent plus l'économie. D'où la nécessité de privatiser le secteur public en RDC. ©Electre 2025
Nombreux sont les pays qui ont commencé à privatiser les entreprises publiques dans l'espoir de créer des richesses.
Grâce à leurs ambitieuses stratégies économiques de privatisation, certains pays émergents connaissent une profonde évolution du fait du programme de réforme structurelle et s'intègrent profondément à l'économie mondiale.
Les richesses minières et énergétiques de la République démocratique du Congo (RDC), dont certaines sont de première importance, peuvent offrir une puissance politique, économique et militaire à notre pays.
Mais, en RDC, la Banque centrale ne joue plus son rôle de symbole de la force économique, de gardienne de l'ordre public économique. Le système bancaire est inexistant et les banques ne financent plus l'économie.
La privatisation du secteur public en RDC constitue un choix décisif tant ce secteur occupe une place importante dans l'organisation sociale et économique au quotidien.
Mosamete lance un cri d'alarme. Il monte au créneau et prend position contre le bradage des entreprises publiques de la RDC. Il formule des contre-propositions.
Paru le : 01/12/2010
Thématique : Essais d'économie
Auteur(s) : Auteur : Sekola Mosamete
Éditeur(s) :
L'Harmattan
Collection(s) : Etudes africaines
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-296-13065-4
EAN13 : 9782296130654
Reliure : Broché
Pages : 110
Hauteur: 22.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 0.7 cm
Poids: 150 g
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