A partir de travaux d'historiens du droit et de l'Ancien Régime, de philosophes et de littéraires, la problématique de l'écriture du droit est abordée. La diversité et le pouvoir de ces écrits, à l'époque moderne, sont tout particulièrement soulignés. ©Electre 2024
Ce livre s'intéresse au pouvoir propre de la «mise en écrit» dans la constitution du droit, ainsi qu'à la place des formes d'écriture diverses dans les pratiques des juristes de l'époque moderne. Quel est le rapport existant entre une formation professionnelle et l'écriture ? Quel est celui que l'on peut établir entre la mise en écrit d'une règle et la constitution d'une norme ? Comment les différentes pratiques des juristes ont-elles contribué à produire la doctrine ? En quoi l'écriture du droit peut-elle ainsi constituer un «modèle» des pouvoirs, ou des limites, de l'action de l'écrit ? Il fallait réunir les travaux d'historiens du droit, d'historiens de l'Ancien Régime, de philosophes, de littéraires pour tenter de répondre à ces questions.
Paru le : 24/11/2010
Thématique : Histoire droit / Institution
Auteur(s) : Non précisé.
Éditeur(s) :
Classiques Garnier
Collection(s) : Etudes et essais sur la Renaissance
Contributeur(s) : Editeur scientifique (ou intellectuel) : Laurence Giavarini - Préfacier : Pierre Bodineau
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-8124-0194-7
EAN13 : 9782812401947
Reliure : Broché
Pages : 371
Hauteur: 22.0 cm / Largeur 15.0 cm
Épaisseur: 1.9 cm
Poids: 526 g
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