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L'auteur reprend la summa divisio du droit romain sur les personnes et les choses pour critiquer les fondations du droit de propriété actuel et les autres branches du droit qui en découlent. ©Electre 2025
L'économie mondiale est à la recherche d'une régulation. Pourrait-elle la trouver dans le droit romain ancien, qui a fécondé la première mondialisation et assuré son succès économique ? Oui, répond Philippe Simonnot dans le second tome de son Économie du droit. En fait, la remontée de sève du droit romain date de la Révolution française, et on la retrouve dans l'actualité la plus brûlante concernant l'immigration, la bioéthique, le droit du travail, le droit de la famille, le droit pénal, entre autres. Cette remontée a une raison toute simple : le droit romain est efficient au sens économique du terme. Le plus étonnant est que l'on retrouve cette efficience dans le Nouveau Testament.
Dans L'Invention de l'État, premier tome de l'Économie du droit, Philippe Simonnot avait présenté les outils que l'économiste utilise pour analyser le droit, puis montré comment fut inventé le premier mode d'exploitation de l'homme par l'homme, à savoir l'État. Dans ce deuxième tome, l'auteur observe qu'il n'y a pas de solution de continuité entre l'esclavage et le salariat et que la distinction entre les personnes et les choses, inventée par le droit romain, continue à faire problème.
Paru le : 28/10/2004
Thématique : Philosophie du droit
Auteur(s) : Auteur : Philippe Simonnot
Éditeur(s) :
Belles lettres
Collection(s) : Non précisé.
Série(s) : Economie du droit
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782251442730
Reliure : Broché
Pages : 428
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 3.0 cm
Poids: 486 g